Archives du mot-clé DEFENSE
Report de l’élection présidentielle: réparer les erreurs du passé, pour avancer vers le Mali Kura
Les autorités de la Transition ont enclenché le processus de retour de la Paix au Mali dixit Bakorè Doucouré
Émission Anw Faso : Décryptage de l’alliance des Etats du Sahel charte LIPTAKO-GOURMA
Émission Anw Faso :
– Décryptage de l’alliance des États du Sahel « charte LIPTAKO-GOURMA »
– Focus sur la situation de LERE
Opération Défense de la Patrie « D » en Marche
63ème anniversaire d’indépendance du MALI: une célébration sous le signe du sursaut national et de la défense de la patrie
Cérémonie de lancement officiel des activités du bureau local du Collectif pour la Défense de Militaires de Sangarebougou
Le Bureau du Collectif pour la Défense des Militaires en abrégé CDM, de la Commune rurale de Sangarébougou a mobilisé massivement ses militantes, militants et sympathisants ce Samedi 16 Septembre 2023.
L’objectif était de procéder au lancement des activités du bureau local au compte de l’année 2023-2024.
Après les mots de bienvenus du Président du bureau local M. Mamadou Keïta, il a rappelé la légitimité et le caractère impératif pour tous citoyens ordinaire de défendre et de soutenir toutes les actions en faveur de nos forces armées de défense et de sécurité.
Ce combat dont le CDM est le porte – flambeau doit être aujourd’hui accompagné par l’ensemble des Maliens afin de permettre à nos forces armées de défense et de sécurité d’accomplir honorablement leur mission régalienne de défendre contre vents et marées la Patrie.
Selon lui, la propagande autour des droits de l’homme concernant le cas de Mourra a été mise en échec grâce à la détermination et à l’engagement du CDM.
Il a exhorté ainsi, la population à accompagner nos vaillants soldats dans leur mission noble pour la restauration de l’intégrité territoriale, de l’honneur et de la dignité du peuple souverain du Mali.
Cette sortie massive pour le lancement des activités témoigne de l’engagement de la population de Sangarébougou à soutenir nos FAMa, les autorités de la Transition panafricaine du Mali.
Au nom du président du Bureau National, M. Bâ Soungalo Konaté a exprimé ses vives félicitations à l’endroit de la population de Sangarébougou.
« Le CDM œuvre pour la bonne marche de la transition et pour la promotion de la cohésion sociale a déclaré Monsieur Konaté avant d’appeler les ennemis de la nation à déposer les armes et revenir à la table de négociation pendant qu’il est temps.
La représentante des femmes du CDM Sangarébougou, Mme Kadiatou Maïga a au nom de ses sœurs magnifié la détermination de toutes les femmes de Sangarébougou pour la cause des militaires.
Les femmes de Sangarébougou sont convaincues que le Mali sortira de cette crise et entamera sa marche pour l’émergence ».
Le secrétaire général du bureau National, Monsieur Younouss Soumaré dira que le Mali est en guerre et nous devons tous nous unir pour l’intérêt supérieur de la Nation.
« Nous sommes tous aujourd’hui des FAMa et l’ennemi qui est en face n’a pas de religion, ni de communauté…tant que nous partons en rang dispersé, il serait difficile de triompher, nous devons unir nos forces autour de nos autorités », a t-il précisé.
Pour finir, Monsieur Geremi Dolo, membre du bureau national du CDM n’a pas manqué de brosser un tableau fort reluisant des activités menées par le CDM à Bamako et dans les différentes régions du Mali de sa création à nos jours.
Bamako le 16 Septembre 2023
CELLULE DE COMMUNICATION
Cérémonie de lancement officiel des activités du bureau local du Collectif pour la Défense de Militaires de Sangarebougou
Le Bureau du Collectif pour la Défense des Militaires en abrégé CDM, de la Commune rurale de Sangarébougou a mobilisé massivement ses militantes, militants et sympathisants ce Samedi 16 Septembre 2023.
L’objectif était de procéder au lancement des activités du bureau local au compte de l’année 2023-2024.
Après les mots de bienvenus du Président du bureau local M. Mamadou Keïta, il a rappelé la légitimité et le caractère impératif pour tous citoyens ordinaire de défendre et de soutenir toutes les actions en faveur de nos forces armées de défense et de sécurité.
Ce combat dont le CDM est le porte – flambeau doit être aujourd’hui accompagné par l’ensemble des Maliens afin de permettre à nos forces armées de défense et de sécurité d’accomplir honorablement leur mission régalienne de défendre contre vents et marées la Patrie.
Selon lui, la propagande autour des droits de l’homme concernant le cas de Mourra a été mise en échec grâce à la détermination et à l’engagement du CDM.
Il a exhorté ainsi, la population à accompagner nos vaillants soldats dans leur mission noble pour la restauration de l’intégrité territoriale, de l’honneur et de la dignité du peuple souverain du Mali.
Cette sortie massive pour le lancement des activités témoigne de l’engagement de la population de Sangarébougou à soutenir nos FAMa, les autorités de la Transition panafricaine du Mali.
Au nom du président du Bureau National, M. Bâ Soungalo Konaté a exprimé ses vives félicitations à l’endroit de la population de Sangarébougou.
« Le CDM œuvre pour la bonne marche de la transition et pour la promotion de la cohésion sociale a déclaré Monsieur Konaté avant d’appeler les ennemis de la nation à déposer les armes et revenir à la table de négociation pendant qu’il est temps.
La représentante des femmes du CDM Sangarébougou, Mme Kadiatou Maïga a au nom de ses sœurs magnifié la détermination de toutes les femmes de Sangarébougou pour la cause des militaires.
Les femmes de Sangarébougou sont convaincues que le Mali sortira de cette crise et entamera sa marche pour l’émergence ».
Le secrétaire général du bureau National, Monsieur Younouss Soumaré dira que le Mali est en guerre et nous devons tous nous unir pour l’intérêt supérieur de la Nation.
« Nous sommes tous aujourd’hui des FAMa et l’ennemi qui est en face n’a pas de religion, ni de communauté…tant que nous partons en rang dispersé, il serait difficile de triompher, nous devons unir nos forces autour de nos autorités », a t-il précisé.
Pour finir, Monsieur Geremi Dolo, membre du bureau national du CDM n’a pas manqué de brosser un tableau fort reluisant des activités menées par le CDM à Bamako et dans les différentes régions du Mali de sa création à nos jours.
Bamako le 16 Septembre 2023
CELLULE DE COMMUNICATION
Au Sahel, le Mali, le Burkina Faso et le Niger annoncent la création d’une alliance de défense collective
Bamako, Ouagadougou et Niamey ont annoncé la signature de la Charte Liptako-Gourma instituant l’Alliance des États du Sahel (AES), qui assurera la défense collective aux populations des États signataires.
Le président de la transition au Mali, le colonel Assimi Goïta, a déclaré samedi avoir signé avec le président de la transition au Burkina Faso, le capitaine Ibrahim Traoré et le président du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie au Niger, le général Abdourahamane Tchiani, la Charte du Liptako-Gourma instituant l’Alliance des États du Sahel (AES).
La création d’une alliance de défense collective intervient sur fond des tensions croissantes avec la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) et la dégradation des relations diplomatiques entre ces trois États du Sahel et la France, ancienne puissance coloniale.
« J’ai signé ce jour avec les Chefs d’Etat du Burkina Faso et du Niger la Charte du Liptako-Gourma instituant l’Alliance des États du Sahel (AES) ayant pour objectif d’établir une architecture de défense collective et d’assistance mutuelle au bénéfice de nos populations », a écrit le président de la transition au Mali sur X (anciennement Twitter), selon le correspondant d’Anadolu.
Selon cette charte qui compte 17 articles, consultée par le correspondant d’Anadolu, les trois pays sahéliens s’engagent à lutter contre le terrorisme sous toutes ses formes et la criminalité en bande organisée dans l’espace commun de l’Aliance.
L’article 3 de la Charte du Liptako-Gourma dispose que « les pays concernés mettront en place ultérieurement les organes nécessaires au fonctionnement et mécanismes subséquents de l’Alliance et définiront les modalités de son fonctionnement ».
« Les Parties contractantes œuvreront en outre à la prévention, la gestion et au règlement de toute rébellion armée ou autre menace portant atteinte à l’intégrité du territoire et à la souveraineté de chacun des pays membres de l’Alliance, en privilégiant les voies pacifiques et diplomatiques et, en cas de nécessité, à user de la force pour faire face aux situations de rupture de la paix et de la stabilité », indique le document dans son article 5.
« Toute atteinte à la souveraineté et à l’intégrité du territoire d’une ou plusieurs Parties contractantes sera considérée comme une agression contre les autres Parties et engagera un devoir d’assistance et de secours de toutes les Parties, de manière individuelle ou collective, y compris l’emploi de la force armée, pour rétablir et assurer la sécurité au sein de l’espace couvert par l’Alliance », prévoit l’article 6.
En outre, la Charte est ouverte à « tout autre Etat partageant les mêmes réalités géographiques, politiques, socio-culturelles qui accepte les objectifs de l’Alliance » et toute demande d’adhésion « est acceptée à l’unanimité des Etats Parties ».
La Charte du Liptako-Gourma entrera en vigueur dès sa signature par toutes les parties.
Durant ces deux dernières années, le Mali, le Burkina Faso et le Niger ont été les théâtres de prises de pouvoir par les militaires.
Début septembre, Bamako, Ouagadougou et Niamey avaient affirmé leur détermination à travailler ensemble pour assurer la sécurité de leurs populations.
La semaine dernière, une délégation malienne s’est rendue à Ouagadougou et à Niamey afin de rencontrer les chefs de la transition. La lutte contre le terrorisme, avait été au cœur des échanges tripartites.
Le Burkina Faso demande à l’attaché de défense à l’ambassade de France et au personnel du bureau militaire français de quitter le territoire Burkinabé dans un délai de deux (02) semaines.
OUAGADOUGOU – Le Burkina Faso a ordonné à l’attaché de défense français de quitter le territoire du pays, dit un courrier confidentiel daté de jeudi.
L’expulsion d’Emmanuel Pasquier est le dernier témoignage en date de l’escalade des tensions entre le Burkina Faso et son ancienne puissance colonisatrice depuis la prise de pouvoir l’an dernier par la Capitaine Ibrahim Traore.
“Le gouvernement du Burkina Faso a décidé à compter de ce jour 14 septembre 2023 de retirer l’agrément de monsieur Emmanuel Pasquier (…) pour activités subversives”, dit ce courrier adressé au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères qui porte la mention “confidentiel”.
“Le ministère voudrait (…) informer que Monsieur Emmanuel Pasquier, de même que le personnel du bureau militaire français, ont un délai de deux semaines pour quitter le territoire burkinabè.”
Il ordonne en outre la fermeture immédiate de la mission du Burkina Faso à Paris.
Reportage Thiam Ndiaga avec John Irish à Paris, rédigé par Sofia Christensen; version française Nicolas Delame, édité par Camille Raynaud
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