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Renouvellement du Bureau de Conseil des Guinéens Résidants au Mali : l’unité retrouvée grâce au leadership de Sekouba Kouyaté alias Donsoba

Le bureau de conseil des Guinéens résidants au Mali a été renouvelé le samedi 20 août 2022 sous la supervision du consul général M. Namory Magassouba  en présence de son conseiller  chargé d’Affaire M. Abdoulaye  Fofana et de son conseiller consulaire, Mamadou Seyba Camara. Les travaux se sont déroulés dans les locaux de l’ambassade de Guinée à Bamako sis au quartier Magnambougou Faso Kanu. Trois candidats étaient en lice. A l’issue de cette assemblée générale, un bureau de consensus  fédérant les quatre régions naturelles que compte la Guinée, a été trouvé grâce au leadership de son Excellence,  Sekouba Fanta Mady Kouyaté dit Donsoba.  

A l’issus des travaux un bureau de 21 membres chapeauté par le président sortant du bureau de conseil des Guinéens Résidants au Mali, Sita Camara a été reconduit  à son poste pour un nouveau mandat de 4 ans.  Donsoba occupe le poste de secrétaire au conflit. Cette élection des guinéens de l’étranger s’est déroulée à Bamako dans un climat tendu du fait de la violation des termes de référence du renouvellement envoyés par la Direction générale des guinéens de l’étranger (DGGE) par les autorités consulaires. Une attitude dénoncée par le secrétaire général de l’Union mandingue Kaba Camara qui avait claqué la porte avec certains délégués en exigeant le respect des textes lors du renouvellement. Toute chose qui allait porter un coup dur à la bonne marche et à l’unité du nouveau bureau et créer la dissension entre les membres. Mais cet incident malheureux a été évité de justesse par la sagesse et le leadership de son excellence, Donsoba Kouyaté, un operateur culturel imbibé de savoirs occultes et de pouvoirs magiques. Qui a pour l’occasion, prôné  la cohésion et l’entente entre tous les guinéens vivants au Mali pour l’intérêt supérieur et le bonheur ses compatriotes. Un comportement responsable apprécié à sa juste valeur par le consul Magassouba.

A noter que cette élection a vu la participation des délégués des quatre régions naturelles de la Guinée à savoir : la Haute Guinée, la basse côte, la Guinée forestière et la Moyenne Guinée ou Fouta.  Sur les quatre régions trois ont présenté des candidats à savoir : M. Sita Camara, le candidat de la basse côte peuplée majoritairement des Soussous, Sékouba Fanta Mady Kouyaté dit Donsoba, le porte étendard   de la haute Guinée fief des Malinké  et M. Joël Lamah  au compte de la Guinée forestière. La moyenne Guinée bastion des peulhs n’a pas présenté de candidat. Donc pour sauver l’unité au sein de la communauté guinéenne au Mali,  un bureau de 21 membres dans lequel toutes les 4 régions y figurent.  Apres son élection à la tête du nouveau bureau, M. Sita Camara, operateur économique de son Etat, a remercié ses compatriotes pour la confiance renouvelée et a  serré la main de ses deux adversaires qui ont faits preuve de maturité en acceptant d’intégrer le nouveau bureau, tout en remerciant aussi, le consul général pour son implication personnelle pour la bonne tenue des opérations du renouvellement. En terminant, il a invité tous les guinées à se donner la main pour la réussite de la transition  en Guinée.

A noter qu’un nombre important des ressortissants guinéens vivent au Mali. Pour diverses raisons appelés « Guinéens de l’Etranger ». Ils jouissent des mêmes droits et devoirs que ceux de l’intérieur du pays et participent de façon active au développement socio économique de la Guinée d’où la nécessité de les organiser davantage en vue de mieux assurer leur gestion.

C’est dans cette dynamique que les autorités guinéennes ont jugé utile de créer une Direction générale des guinéens de l’extérieur  pour mettre en œuvre la politique du gouvernement en matière de gestion de cette catégorie de guinéens.

Pour atteindre ses objectifs, la direction générale a sur les instructions du ministre des Affaires étrangères, procédé à la mise en place des bureaux des conseils des guinéens de l’étranger dans différents pays depuis 2017. Les opérations furent menées par les ambassades  et consulats qui procédèrent à l’installation des bureaux dés après leurs élections. Ces conseils ont facilité l’organisation du premier forum des guinéens de l’étranger en janvier 2018 à Conakry qui devrait mettre en place le Haut conseil des guinéens de l’étranger (HCGE). De nos jours, 43 conseils des guinéens de l’étranger sont répertoriés selon le terme de référence.

En outre, pour cette opération, chaque ambassade ou consulat en collaboration avec les bureaux sortants, devra évaluer le nombre de guinéens dans sa juridiction pour proposer les postes à pourvoir dans les bureaux des conseils des guinéens de l’Etranger. Les membres du bureau sont élus pour un mandat de 4 ans renouvelable une seule fois.

Habi Kaba Diakité

Mali : Une directrice d’école retrouvée égorgée dans son bureau à Sélingué

La directrice du 1er cycle B de l’école fondamentale de Sélingué a été retrouvée égorgée, ce vendredi matin, dans son bureau. La découverte macabre a eu lieu en début de matinée.

Son corps sans vie a été découvert dans son bureau baignant dans une mare de sang. La découverte macabre à eu lieu en début de matinée. 

Selon une source locale, la victime a été identifiée comme étant Mme Ouattara Ramata Togola. La directrice d’école d’une quarantaine d’années a été assassinée par un inconnu actuellement recherché.

Le corps à été découvert aux environs de 8 heures. L’auteur de ce crime odieux n’a pas encore été identifié. 

Sur place, le corps de la victime qui présentait une large entaille au cou, gisait dans le sang.

Ce qui laisse à penser qu’elle a été égorgée sur place. Toujours selon la même source, le criminel, après son forfait, a fourni avec lui le porte-monnaie de la victime. 

Les forces de l’ordre ont amorcé les investigations pour faire toute la lumière sur cette sombre affaire. 

Déclaration du Bureau Politique du Parti SADI

Depuis quelques jours, un montage vidéo circule sur les réseaux sociaux dans lequel, un nommé Fadjigui Traoré affirme détenir le contenu d’une conversation téléphonique entre l’imam Mahmoud Dicko et le Dr Oumar Mariko, Président du Parti SADI dans laquelle les deux personnalités, ayant vainement tenté de freiner sans succès la marche en avant de la Transition, ont mis au point un nouveau plan de liquidation physique de son Président, le Colonel Assimi Goita.

Selon ce triste personnage Fadjigui Traoré, de l’Arabie Saoudite où il séjourne, l’Imam Mahmoud Dicko devrait prendre contact avec les dirigeants de l’Emirat du Qatar pour mettre à exécution le plan diabolique qui impliquerait également la participation des européens.

Le scenario mis au point, fruit d’une action concertée entre l’Imam Mahmoud Dicko et le Dr Oumar Mariko, comporte, selon ce menteur professionnel qui affirme détenir les extraits audio de leur conversation téléphonique, dans un premier temps, une invitation officielle que les autorités émiratis adresseraient au Président de la Transition pour se rendre au Qatar afin de renforcer la dynamique de coopération entre nos deux pays. Une fois sur place, le Président de la Transition serait séquestré voire même empoisonné.

Dans un second temps, selon l’affabulateur Fadjigui, l’imam Mahmoud Dicko qui a reçu du Royaume d’Arabie Saoudite, la Somme astronomique de 50 Milliards de FCFA, a prélevé sur cette somme 20 milliards de FCFA qu’il a envoyé aux représentants du Parti SADI basés en Côte-d’Ivoire afin d’alimenter la rébellion djihadiste aux frontières Sud du Mali.  A l’appui de ses allégations, Fadjigui Traoré a soutenu que le Royaume d’Arabie Saoudite et le Qatar sont les principaux soutiens financiers des groupes armés terroristes qui sévissent au Mali

 

Devant la gravité de telles allégations, le Bureau Politique:

– Condamne avec la plus grande fermeté ces accusations infondées montées de toutes pièces dans le but de salir l’honorabilité et la réputation du Parti SADI et de son Président;

– Dénonce le lynchage médiatique et l’instrumentalisation des émotions  dont la manifestation la plus délétère est l’omniprésence médiatique d’une légion de soi-disant « vidéoman » qui polluent les réseaux sociaux, racontent des énormités, appellent au meurtre de ceux qui ne partagent pas la « vérité des princes du jour » sous le regard bienveillant d’une justice aux ordres;

– invite les militants et militantes du parti, ainsi que tous les démocrates à renforcer la vigilance pour préserver les acquis démocratiques de notre peuple arrachés de haute lutte;

–   en l’absence d’une réponse du Procureur de la République pour apporter toute la lumière sur une si grave accusation, le Bureau Politique se réserve le droit d’engager des poursuites contre cet individu malveillant.

 

Bamako, le 22 avril 2022

Le Bureau Politique

Crise au Conseil national du patronat (CNPM) : Un bureau provisoire mis en place

Les partisans des deux camps, notamment ceux de Mamadou Sinsy Coulibaly et  de Diadié dit Amadou Sangaré, se retrouvent pour mettre en place un bureau provisoire. La liste des membres de cette administration provisoire a été rendue publique ce vendredi 04 mars 2022, lors d’une rencontre de prise de contact entre ces derniers, au Cnpm.

La crise du Conseil national du patronat ne serait plus qu’un mauvais souvenir. Les militants des deux protagonistes enterrent la hache de guerre pour célébrer la paix des braves au sein du Conseil national du patronat.

Conformément à la liste publiée, l’administration provisoire du Cnpm compte 16 membres ; elle a pour président Soya Golfa.

Selon Boubacar H Diallo, premier vice-président du nouveau bureau provisoire,  leur principal rôle serait de rassembler et réconcilier les deux protagonistes et organiser des élections pour sortir le Patronat de la  crise sans précédent qu’il a endurée. A l’en croire, les membres de cette administration provisoire ne se reconnaissent d’aucun des deux parties. Et d’ajouter que la mise en place de ce bureau provisoire a été possible grâce à l’indulgence et la volonté des deux protagonistes, à savoir Mamadou Sinsy Coulibaly et Diadié dit Amadou Sangaré. Partant de ce fait, il a remercié les deux parties.  » Chacun a fait ce qu’il faut pour que le secteur puisse se retrouver », stimule-t-il. Ainsi, ce bureau se veut une administration d’espoir pour le secteur, laquelle va restaurer la confiance  au sein du Conseil national du patronat, afin de défendre l’intérêt du secteur privé et l’unir avec le Mali.

De même que son prédécesseur, Ibrahim Diawara, 2éme vice-président, a jaugé la mise en place de ce nouveau bureau provisoire comme un fait spécial et historique. Car pour lui,  cela met en évidence l’engagement des acteurs à reconstituer la paix entre eux dans un Cnpm un et indivisible.  «  Nous sommes des gens pragmatiques, convaincus que ces altercations ne mènent nulle part. Et nous avons décidé de se pardonner sans l’aide de quelqu’un et se mettre autour de la table pour avancer la main dans la main », s’est-il félicité.

Jiadata MAIGA 

Crise au Conseil national du patronat (CNPM) : Un bureau provisoire mis en place

Les partisans des deux camps, notamment ceux de Mamadou Sinsy Coulibaly et  de Diadié dit Amadou Sangaré, se retrouvent pour mettre en place un bureau provisoire. La liste des membres de cette administration provisoire a été rendue publique ce vendredi 04 mars 2022, lors d’une rencontre de prise de contact entre ces derniers, au Cnpm.

La crise du Conseil national du patronat ne serait plus qu’un mauvais souvenir. Les militants des deux protagonistes enterrent la hache de guerre pour célébrer la paix des braves au sein du Conseil national du patronat.

Conformément à la liste publiée, l’administration provisoire du Cnpm compte 16 membres ; elle a pour président Soya Golfa.

Selon Boubacar H Diallo, premier vice-président du nouveau bureau provisoire,  leur principal rôle serait de rassembler et réconcilier les deux protagonistes et organiser des élections pour sortir le Patronat de la  crise sans précédent qu’il a endurée. A l’en croire, les membres de cette administration provisoire ne se reconnaissent d’aucun des deux parties. Et d’ajouter que la mise en place de ce bureau provisoire a été possible grâce à l’indulgence et la volonté des deux protagonistes, à savoir Mamadou Sinsy Coulibaly et Diadié dit Amadou Sangaré. Partant de ce fait, il a remercié les deux parties.  » Chacun a fait ce qu’il faut pour que le secteur puisse se retrouver », stimule-t-il. Ainsi, ce bureau se veut une administration d’espoir pour le secteur, laquelle va restaurer la confiance  au sein du Conseil national du patronat, afin de défendre l’intérêt du secteur privé et l’unir avec le Mali.

De même que son prédécesseur, Ibrahim Diawara, 2éme vice-président, a jaugé la mise en place de ce nouveau bureau provisoire comme un fait spécial et historique. Car pour lui,  cela met en évidence l’engagement des acteurs à reconstituer la paix entre eux dans un Cnpm un et indivisible.  «  Nous sommes des gens pragmatiques, convaincus que ces altercations ne mènent nulle part. Et nous avons décidé de se pardonner sans l’aide de quelqu’un et se mettre autour de la table pour avancer la main dans la main », s’est-il félicité.

Jiadata MAIGA

L’ADMINISTRATION PROVISOIRE INSTALLEE A LA TETE DU CNPM : Les ambitions d’un bureau de transition de six mois

Les membres de l’administration provisoire ont pris fonction à la tête du Conseil National du Patronat du Mali, le mardi 16 février 2020. Un bureau de 12 membres présidé par le doyen Soya Golfa qui a comme vice-président Boubacar H Diallo. Ce bureau ambitionne déjà de faire du patronat la véritable faitière du secteur privé. Il mettra surtout l’accent sur l’inclusivité, la cohésion et une organisation structure du patronat pour  plus de démocratie et de transparence dans la gestion. Engagé pour une durée de six mois, le Bureau transitoire se donne comme missions essentielles, la recherche de l’inclusivité pour un grand consensus, le toilettage des textes du CNPM, l’organisation d’une nouvelle assemblée générale pour élire dans la plus grande transparente le président du CNPM. Ambitions nobles et légitimes. L’administration transitoire va-t-elle réussir là où toutes les tentatives de médiation ont échoué ? Aura-t-elle le soutien des plus hautes autorités du pays ? Tous les protagonistes vont-ils s’employer pour la réussite de la mission du bureau transitoire ?

C’est devant un parterre d’hommes de média que le vice-président du bureau transitoire, M. Boubacar H Diallo a expliqué les péripéties qui ont conduit à la mise en place d’une administration provisoire pour évacuer les affaires courantes du CNPM. Selon le Conférencier le Conseil National du Patronat du Mali, traverse une crise consécutive au renouvellement de son bureau et cela depuis plus de 16 mois. Conscient du rôle que les groupements  patronaux et les Conseils patronaux des régions  membres du  CNPM jouent pour un véritable encrage du secteur privé au Mali, il revient à eux, selon le conférencier, d’imposer leur volonté aux protagonistes pour une sortie de crise. Concernant le processus qui a abouti à la mise enplacede l’administration provisoire, le conférencier et non moins vice-président du Bureau transitoire dira qu’il a été inclusif car les GP et CPR étaient très largement présents ce qui a donné au bureau une très grande légitimité. S’agissant des ambitions de l’administration provisoire, elles se résument essentiellement à trois grands points : Une démarche inclusive à l’endroit des protagonistes afin qu’ils adhèrent à l’initiative, et qu’ils soient impliqués pour une résolution rapide de la crise, ensuite le bureau se propose de procéder à la relecture des textes pour un véritable toilettage afin qu’il n y ait plus de litiges ou autres contentieux susceptibles d’entacher la crédibilité du CNPM et de celui qui va être élu, la troisième ambition est celle d’organiser une nouvelle assemblée générale dans un délai de six mois pour doter le CNPM d’un bureau légitime et légal au grand bonheur du secteur privé malien. A la question de savoir si ce bureau est neutre, le conférencier répondra simplement qu’il n’appartient à aucun camp et que leur objectif n’est rien d’autre que de mettre fin à la crise par l’organisation d’une assemblée générale pour élire le Président du patronat, surtout, a-t-il martelé, le corps électoral ne fait que 155 votants. Le Conférencier et de surcroit le vice-président du bureau transitoire sollicite l’accompagnement des autorités et surtout des protagonistes pour une issue rapide et heureuse de la crise.

 

Youssouf Sissoko