L’agence évènementielle INFLUYENCE choisi « Fatô diamatigui » ADJI ONE pour son évènement grand public du lendemain de la fête de Tabaski 2023 !

L’agence INFLUYENCE dirigée par la publiciste Aminata BOCOUM, qui a toujours une longueur créative d’avance, a procédé ce lundi 8 mai 2023, à la signature du contrat de son prochain évènement grand public, dans les locaux de son partenaire N’ice Cream, à l’Hippodrôme (Bamako) avec l’artiste rappeur ADJI ONE.

C’est le jeune rappeur ADJI ONE, en personne, connu à l’état-civile sous l’appellation Makan DANIOKO, qui a procédé à la signature du contrat avec monsieur Harouna Bagayoko, chargé de la programmation et gestion des artistes chez INGLUYENCE GROUP.

Ce concert, le tout premier de l’artiste dans la capitale malienne, lui donne l’opportunité de tester sa quote de popularité au près du public. Il promet de donner le maximum, pour que les absents regrettent de ne pas avoir fait le déplacement.

L’histoire de la carrière de cette coqueluche de la jeunesse malienne s’écrira avec InfluYence.

Rendez-vous est donc pris.

@bsidibe
Mali Buzz TV

15ans après Prof. Ogobara Doumbo, le Professeur malien Abdoulaye Djimdé de l’Université de Bamako, est lauréat du Prix Christophe Mérieux 2023

Abdoulaye Djimdé est Professeur de Parasitologie et de Mycologie au Centre de Recherche et de Formation sur le Paludisme (MRTC) de l’Université des Sciences, Techniques et des Technologies de Bamako, au Mali. Son programme de recherche utilise des approches moléculaires et génomiques pour lutter contre le paludisme. 

Le groupe de recherche qu’il dirige cherche notamment à comprendre comment les variations dans les génomes du parasite, de l’hôte humain et du moustique vecteur contribuent à renforcer la résistance aux médicaments antipaludiques. Président fondateur du réseau Pathogens genomic Diversity Network Africa (PDNA), qui regroupe des scientifiques de 16 pays d’Afrique sub-Saharienne, il œuvre pour que les connaissances issues de la génétique et de la génomique des pathogènes soient au service de la santé publique : recherche, formation, développement des capacités et de l’engagement des communautés, des décideurs et du public.

Fervent défenseur du développement de la recherche africaine, il joue aussi un rôle déterminant dans la formation de réseaux de recherche, notamment dans le réseau mondial de résistance aux médicaments antipaludiques, dont il fut membre du conseil consultatif scientifique. Il est actuellement coordinateur du Réseau ouest-africain pour les essais cliniques de médicaments antipaludiques (WANECAM), Directeur du consortium Développer l’Excellence en matière de leadership et de formation en génomique pour l’élimination du paludisme et le contrôle de la résistance aux antimicrobiens en Afrique (DELGEME PLUS) et Président de l’Association africaine pour la recherche et le contrôle de la résistance aux antimicrobiens (AAAMR).

Projet récompensé

Le paludisme reste un problème majeur de santé publique en Afrique subsaharienne, où l’on recense plus de 95 % des cas cliniques et plus de 95 % des décès liés au paludisme. Le Mali fait partie des 10 pays africains les plus touchés par le paludisme. Le traitement du paludisme, qu’il soit grave ou noncompliqué, repose sur des médicaments contenant des dérivés de l’artémisinine.

Le développement et la propagation de parasites résistant aux médicaments antipaludiques constituent une menace majeure pour le programme de contrôle, d’élimination et d’éradication du paludisme. La résistance aux dérivés de l’artémisinine, également appelée résistance partielle par l’OMS, et qui prend la forme d’un retard dans la disparition des parasites a été documentée en Asie du Sud-Est depuis 2009. Les efforts déployés au niveau mondial pour endiguer la propagation de cette résistance ont abouti à la quasi-élimination du paludisme à Plasmodium falciparum dans ces régions asiatiques. La résistance à l’artémisinine a récemment été documentée au Rwanda, en Ouganda et dans la corne de l’Afrique. Des cas anecdotiques ont également été signalés en Tanzanie. Contrairement à la propagation géographique traditionnelle observée dans les cas précédents où la résistance à la chloroquine et à la sulfadoxine-pyriméthamine est apparue en Asie du Sud-Est et s’est propagée au reste du monde, les cas récents de résistance à l’artémisinine en Afrique semblent être d’origine locale.

À ce jour, aucune résistance à l’artémisinine n’a été documentée au Mali. Cependant, les données disponibles sont peu nombreuses et ne couvrent que quelques sites dans le pays. Dans le cadre de l’effort global pour évaluer efficacement l’étendue de la résistance à l’artémisinine en Afrique, les travaux de recherche menés par le professeur Abdoulaye Djimdé avec son équipe proposent d’entreprendre une évaluation complète de la résistance à l’artémisinine et aux médicaments partenaires au Mali. L’objectif général de ce travail est d’étudier la présence ou l’émergence de la résistance de P. falciparum à l’artémisinine et aux médicaments partenaires dans toutes les strates de transmission du paludisme au Mali. Pour ce faire, nous utiliserons des approches in vivo sur les patients, in vitro et génomiques. L’étude couvrira toutes les strates de transmission du paludisme au Mali. Les résultats permettront une mise à jour de la distribution des marqueurs moléculaires de la résistance des parasites aux molécules partenaires et la mise en évidence de toute émergence de la résistance aux dérivés de l’artémisinine au Mali.

COMMUNIQUÉ N°0022-2023/ CDM DE CONDAMNATION SUR LA COLLABORATION DE LA CMA AVEC LES TERRORISTES

Le Collectif pour la Défense des Militaires (CDM) félicite les Autorités qui, dans le cadre de la poursuite des opérations Militaires pour la Reconquête du pays, ont mises aux arrêts une douzaine de terroristes de grands chemins, le 23 Avril dernier dans plusieurs secteurs de Ménaka

Le CDM Condamne par ailleurs la déclaration de la cma qui dans un Communiqué en date du 27 Avril 2023, déplore les arrestations tout en affirmant que les assaillants interpellés sont des membres de la CMA et du MOC, toute chose qui confirme la collaboration entre la CMA et les terroristes.

Le porte-parole terroriste de la CMA, Almou Ag Mohamed, tente ainsi de blanchir ces auteurs qui ont les mains souillées du sang des pauvres citoyens.

Par cet acte, la CMA vient de confirmer ces relations louches avec les terroristes, chose qui ne saurait prospérer, vu l’engagement et la détermination des plus hautes autorités à mettre tous les ennemis de la République hors de nos frontières ou à défaut, les détruire.

Le CDM a toujours dénoncé, le fait que la CMA travaille en intelligence avec les groupes terroristes.

Il est ,aujourd’hui, indéniable que vouloir créer une différence entre les éléments de la CMA et les terroristes n’est pas possible vu la duplicité de ces mouvements qui ont un seul objectif, semer le trouble et terroriser les paisibles Populations du Nord Mali prisent en otage.

Le CDM demande aux autorités de rejeter toute question de négociation qui pourra les permettre d’ obtenir la libération des terroristes interpellés.
Le CDM exhorte les Nations Unies et la médiation internationale à prendre des dispositions utiles en vue de sanctionner les responsables de la CMA qui travaillent en intelligence avec les terroristes, conformément à l’esprit de l’Accord d’Alger.

Le CDM appelle tous les Maliens à la vigilance et à jouer la carte de la paix pour un Mali un et Indivisible.

Pour la stabilisation de notre très cher pays, chacun compte.
Ensemble nous Pouvons et Ensemble nous Vaincrons !

Bamako, le 29 -04- 2023

CELLULE DE COMMUNICATION

Le Mali décroche une place dans la Commission des conditions de la femme des Nations Unies

Le Mali vient de décrocher pour la première fois, au nom de l’Afrique de l’Ouest, une place au sein de la Commission des conditions de la femme des Nations Unies. Cette opportunité a été offerte au Mali à la suite de la participation remarquable d’une délégation malienne conduite par la Ministre de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille, Mme Wadidiè Founè COULIBALY à la 67ème Session du CSW qui s’est tenue à New York du 06 au 17 mars 2023.

La Commission est composée de représentants de 45 Etats membres des Nations Unies élus par le Conseil économique et social sur la base d’une distribution géographique équitable :

• 13 membres d’Afrique, 11 d’Asie, 9 d’Amérique latine et des Caraïbes, 8 d’Europe de l’Ouest et d’autres Etats, et 4 d’Europe de de l’Est.

Ce poste permettra au Mali d’aller défendre chaque année les conditions de la femme malienne en particulier, et celles des femmes de l’Afrique de l’Ouest en général. Il permet en outre de protéger les femmes contre les politiques qui vont à l’encontre de la culture africaine.

M.S

Communiqués de presse: PANAF lance un site Web unique en son genre pour défendre les droits artistiques en Afrique

Le Réseau panafricain pour la liberté artistique (PANAF) a lancé un nouveau site Web de ressources où les artistes et autres professionnels de la culture peuvent se tenir au courant de ses dernières activités, qui comprennent la recherche, le renforcement des capacités, le lobbying et le plaidoyer pour l’avancement des droits artistiques.

Le site Web, qui est disponible à l’adresse http://www.panaf.org, est une plate-forme numérique permettant aux artistes africains de participer à des discussions socio-politiques sans crainte de répression ainsi que de réseauter et d’échanger des idées. PANAF utilisera également la plate-forme pour partager des informations, y compris les violations des droits artistiques, et pour promouvoir des artistes socialement conscients et des contenus peu susceptibles d’être soutenus par les médias grand public.

Le site Web offre une expérience de navigation conviviale et comprend cinq sections clés :

  • La section À propos, qui présente un résumé du projet PANAF et de ses partenaires.
  • La section Projet, qui contient des informations détaillées sur les activités et les publications qui ont été réalisées dans tous les pays cibles. Cette section soutiendra également les études et les recherches d’autres organisations ayant un intérêt similaire pour le sujet.
  • La section Chatroom, qui est un espace où les créatifs peuvent discuter des droits artistiques, de la bonne gouvernance et d’autres questions de politique sociale sans craindre d’être profilés.
  • La section In-focus, qui propose des interviews d’artistes sur des sujets allant de leur travail à l’état des lieux dans leurs pays respectifs.
  • La section Adhésion, qui, grâce à une inscription gratuite, deviendra un réseau panafricain d’artistes, d’organisations de la société civile et de producteurs culturels de toutes les formes d’art et organisations. Plus d’informations sont disponibles sur la page « Rejoindre ».

« Le réseau que nous construisons grâce à l’adhésion est un mouvement de solidarité dont le continent a grand besoin – une fois que nous aurons une forte adhésion sur la plate-forme au niveau national, il sera très facile de mobiliser des campagnes de lobbying et de plaidoyer », a déclaré le fondateur de Selam et a déclaré le directeur exécutif Teshome Wondimu.

Ajoutant que : « Le réseau peut sembler être un simple acte de solidarité, mais l’impact peut être énorme. Nous sommes convaincus que nous pourrons porter ce lobbying au niveau régional, et qu’à l’avenir, tout artiste qui en deviendra victime n’aura pas à se battre seul pour ses droits, grâce au réseau.

PANAF a été dévoilé en novembre 2021 par Selam avec le soutien du Conseil suédois des arts en réponse au besoin d’une voix régionale active et inclusive dans le secteur créatif qui pourrait sensibiliser aux incidents de violations de la liberté artistique et collaborer avec les défenseurs des droits artistiques dans les régions. et les efforts nationaux de plaidoyer. Le projet est mis en œuvre avec l’aide d’organisations partenaires travaillant dans le domaine de la culture et de la société civile au Nigeria, en Gambie, au Mozambique, au Kenya, en Zambie, au Rwanda, en Ouganda et en Éthiopie, avec des plans pour s’étendre à d’autres pays et régions à l’avenir.

Pour plus d’informations, explorez le site http://www.panaf.org ou envoyez un e-mail à info@panaf.org

Retour d’Aliou Boubacar Diallo au pays : Nioro du Sahel a vibré de sa présence !

A peine arrivé au pays particulièrement dans la capitale malienne, le président d’honneur du parti Alliance Démocratique (ADP-Maliba), Aliou Boubacar Diallo s’est vite déplacé pour Nioro du Sahel en rencontrant le Chérif Bouyé Haïdara qui représente à ses yeux plus qu’une figure paternelle.

Aliou Boubacar Diallo, 3ème lors de la dernière présidentielle a rencontré le chérif Bouyé Haïdara après sa longue durée hors du pays. L’impact de ses activités ainsi que son apport à l’économie nationale à travers des réseaux internationaux qui lui auront permis de manœuvrer au profit du Mali lors des sanctions régionales et continentales.

Arrivé à Bamako mardi 14 mars 2023, l’international homme d’affaires est accueilli en fanfare par sa famille politique et ses collaborateurs directs mais ne dure que 48h. Le jeudi matin très tôt, il se rend dans la ville de Nioro du Sahel où il a tenu à revoir son père spirituel. Nioro du Sahel est devenu une destination très fréquentée ces derniers temps pour séduire le maître des lieux afin qu’il accorde sa caution au projet de constitution à soumettre à l’appréciation du peuple.  Dès son Arrivée à Nioro du Sahel, l’ancien député de Kayes a été accueilli par la famille chérifienne et nombre d’autres sympathisants. Les images de cette visite ont été largement surfées sur les réseaux sociaux.  Une cascade de bénédictions du père au fils  a été faite.

Le fondateur du groupe Hydroma a pris conseil auprès du chérif Bouyé HaÏdara avant de regagner Bamako où les réunions qu’il a avec son staff professionnel, politique et ses proches ces jours-ci, situe sur sa posture dans un Mali où les divergences sont de plus en plus affichées.

A chaque occasion, le président de la  fondation Maliba multiplie les sorties à chaque page de l’histoire du pays à savoir : Le nouvel an, la fête de l’armée et la journée du 8mars où il a fait le bilan de son soutien aux femmes qui date de plus de 20 ans.

8 mars 2023

Aliou Boubacar Diallo exhortent les femmes à prôner le pacte de stabilité. Après sa sortie dédiée à l’armée nationale, l’ex patron de Wassoul’Or a pensé à la femme malienne lors de la journée internationale des droits de la femme. Dans son intervention avant qu’il ne rentre au pays, Aliou Boubacar Diallo a invité les dames à la mobilisation en rappelant qu’elles demeurent les premières victimes du conflit que vit le Mali. Il a rappelé que cette journée dédiée aux mères, épouses, sœurs et filles nous rappelle le rôle des femmes dans la lutte que mène le Mali contre le terrorisme depuis plus de 10 ans et dont les femmes sont les premières victimes.  Il a présenté ses condoléances aux familles de toutes les victimes civiles et militaires de cette douloureuse crise sécuritaire.

Aliou Boubacar Diallo a réitéré son appel aux femmes du Mali, ainsi qu’aux autres couches de société malienne pour sceller un pacte de stabilité avec les objectifs qui sont : Retrouver la paix et la stabilité indispensable pour que le Mali connaisse l’essor économique qu’il mérite ; mettre en valeur les précieuses richesses et les énormes potentialités dont regorgent toutes les régions du Mali au profit de tous ses enfants et  permettre à notre pays de retrouver sa place dans le concert des Nations.

En définitive, Nioro du Sahel a vibré de sa présence.

Diakaridia Sanogo

Retour d’Aliou Boubacar Diallo au bercail : Grandes retrouvailles à Nioro et hommage aux femmes

Absent du pays pour cause de tournée continentale, le porte étendard de l’ADP Maliba a finalement regagné le bercail et s’est aussitôt acquitté d’un passage symbolique chez le Cherif de Nioro, qui incarne à ses yeux plus qu’une figure paternelle.

La troisième force politique de la dernière présidentielle effectue un come-back et non des moindres, pour qui connait l’impact de ses activités ainsi que son apport à l’économie nationale à travers des réseaux internationaux qui lui auront permis de manœuvrer au profit du Mali lors des sanctions régionales et continentales.

Arrivé à Bamako le mardi 14 mars 2023, le célèbre homme d’affaires est accueilli en fanfare par sa famille politique et ses collaborateurs directs mais ne séjourne que moins de 48h dans la capitale. Jeudi matin très tôt, il se rend dans la ville lumière de Nioro du sahel où il tenu à revoir son père spirituel, à savoir le Cherif Bouillé Haidara. Une destination où ça se bouscule ces derniers temps pour séduire le maître des lieux afin qu’il accorde sa caution au projet de constitution à soumettre à l’appréciation du peuple.

L’ex député de Kayes s’y est rendu en compagnie de certains membres du Comité Exécutif du Parti de la Balance et s’est fait accueillir à sa descente d’avion par la famille chérifienne et nombre d’autres sympathisants. Il aura ensuite son instant de communion avec le patriarche religieux dont les images seront d’ailleurs ventilées en boucle sur les réseaux sociaux.

Une pluie de bénédictions du père au fils sera faite à celui qui s’exprimait le mois dernier sur les ondes de la télévision Ivoirienne au sujet de la reprise des coopérations entre Abidjan et Bamako, attestant du lien fraternel entre ces deux pays dans le feu de leurs brouilles.

Enfin, le fondateur du groupe Hydroma et figure historique de la mine Wassoul’Or a pris conseils auprès du Chérif Bouillé Haidara avant de regagner Bamako où les réunions qu’il aura avec son staff professionnel, politique et ses proches ces jours ci, situera sur sa posture dans un Mali où les divergences sont de plus en plus affichées.

Si on lui prête des ambitions présidentielles, reste que le président d’honneur de la fondation Maliba multiplie les sorties à chaque page de l’histoire du pays: le nouvel an, la fête de l’armée et la journée du 8 Mars où il a fait le bilan de son soutien aux femmes qui date de plus de 20 ans.

Les femmes exhortées à prôner le pacte de stabilité

Après sa sortie dédiée à l’armée nationale, l’ancien mythique patron de Wassoul’Or a pensé à la Malienne. Dans le message livré dans ce sens avant qu’il ne foule la terre de la mère-patrie, Aliou Boubacar Diallo a invité les Dames à la mobilisation en rappelant qu’elles demeurent les premières victimes du conflit que vit le Mali.

Il n’a pas manqué de rappeler que ” cette journée dédiée à nos mères, épouses, sœurs et filles, nous rappelle le rôle des femmes dans la lutte que mène le Mali contre le terrorisme depuis plus de 10 ans » et dont les femmes «sont les premières victimes”. Le Kayesien le plus en vue en a profité, au demeurant, pour présenter ses condoléances aux familles de toutes les victimes civiles et militaires de cette douloureuse crise sécuritaire.

L’ancien postulant au fauteuil présidentiel n’a pas omis d’y associer les veuves, orphelins, ainsi que les nombreux déplacés et réfugiés au nombre desquels figure une grande majorité de femmes et d’enfants. Allusion faite à adresse de nouvel an, l’honorable Aliou B. Diallo a réitéré son appel aux Femmes du Mali, ainsi qu’aux autres couches de société malienne pour sceller un Pacte de stabilité avec les l’objectif ci-après :

–  retrouver la paix et la stabilité indispensables pour que le Mali connaisse l’essor économique qu’il mérite ;

–  mettre en valeur les précieuses richesses et les énormes potentialités dont regorgent toutes les régions du Mali au profit de tous ses enfants ;

– permettre à notre pays de retrouver sa place dans le concert des nations.

Le député sortant du Khasso n’a pas manqué de situer les actions posées par la Fondation MALIBA qu’il pilote, en rappelant au passage que son équipe œuvre inlassablement depuis plus de 30 ans à soustraire les femmes de la précarité. À travers notamment des actions concrètes comme l’octroi de bourses d’études au Mali et à l’étranger à des filles et garçons; la construction, l’équipement de maternités et de salle de soins pour une meilleure prise en charge de la mère et de l’enfant, la fourniture de moulins aux femmes rurales pour les aider dans leurs multiples tâches, l’installation de forages pour soustraire nos sœurs de la corvée d’eau et aussi leur permettre de pratiquer le maraîchage, la formation en technique de fabrication du savon moderne, de l’eau de javel et du détergent au bénéfice de plus d’un millier de femmes qui ont toutes été également outillées en kits pour leur permettre d’acquérir une indépendance financière.

S’y ajoute le symbolique apport qui fut le soutien financier et en vivres aux familles des soldats tombés sur le champ de l’honneur et cela depuis la tuerie d’Agel Hoc en 2012 avec la remise d’une somme de 50 millions CFA aux veuves et orphelins victimes de cette barbarie. La dynamique sera poursuivie sans relâche a promis celui qui, depuis deux ans, fait des émules en matière d’hydrogène. Au demeurant, «la déesse du 8 mars» a concrétisé ses intentions à l’endroit des femmes : la nuit du vendredi 10 mars,  Mme Diallo Mariama Camara fut nommée lors de la cérémonie Prix Lobbo Traoré, meilleure Femme Malienne dans la Catégorie Femme humanitaire et Meilleure Femme Malienne dans la catégorie Femme Politique. Un doublé de la présidente des femmes de l’ADP Maliba qui en dit long !

À fond dans l’arène économique, beaucoup d’observateurs s’attendant à une descente fulgurante et irrésistible de la figure de proue de la scène politique malienne – dont cote n’a de cesse de grimper à travers le continent à travers divers forums d’affaires sur l’hydrogène.

A. KEÏTA

Le Témoin

Mali : Le Président Aliou Boubacar Diallo concilie politique et humanitaire

Le retour du président Aliou Boubacar Diallo à l’approche du Ramadan est un ouf de soulagement pour des plus démunis. Cela, en raison de ses actions de tous les jours en faveurs des couches défavorables. Toujours présent quand il s’agit de voler au secours des démunis, le séjour du président de la fondation AD-MALIBA, hors du pays avait créé un vide et un désespoir total dans le rang des milliers de nombreuses personnes dont il ne cesse de soutenir depuis des années. Aliou Boubacar Diallo, puisqu’il s’agit bien de lui, n’est pas que politique, il est aussi un humanitaire car,  c’est un véritable catalyseur pour le soulagement des démunis. Soucieux du devenir de ses concitoyens, le président de la Fondation ADP-Maliba a fait plusieurs dons de vivres, de matériel, de forages, des équipements permettant la création d’activités régénératrices de revenus, couches vulnérables  de la société  etc. C’est pourquoi, son retour, le 14 mars passé, a été salué à juste titre et applaudi, pas seulement par ses compagnons politiques, mais aussi et surtout, dans les rangs des couches sociales vulnérables. Le mois de Ramadan, moment propice pour ses actions humanitaire, Aliou Boubacar Diallo, très sollicité par les plus démunis ne lésine point sur les moyens. Son apport permet à nombre de ces concitoyens d’accomplir leur devoir religieux grâce à ses dons de produits de première nécessité, largement consommés pendant ce mois bénit. Son retour donc au pays à la veille du Ramadan, traduit sa volonté inébranlable de subvenir aux besoins des plus nécessiteux. C’est aussi un soutien à l’Etat car, à travers  ses actions, il  enlève une grosse épine dans le pied des autorités.  

Togola / Mali Afrique

Enceinte, Rihanna fait le show à la mi-temps du Super Bowl

EN IMAGES. C’était son grand retour sur scène. Rihanna a chanté ses plus grands tubes lors de la mi-temps du Super Bowl, dimanche 12 février. Avant de confirmer qu’elle était enceinte de son deuxième enfant.

Rihanna a signé son grand retour lors du Super Bowl, dimanche 12 février. La chanteuse aux neuf Grammy Awards est sur scène à la mi-temps du match opposant les Chiefs de Kansas City aux Eagles de Philadelphie, lors de la finale du championnat de NFL. Un représentant de l’artiste a indiqué au site du magazine «The Hollywood Reporter» que la star attendait son deuxième enfant, moins d’un an après la naissance de son fils, le 13 mai 2022, dont le père est le rappeur A$AP Rocky.

Très attendue, six ans après son dernier concert, l’artiste de 34 ans est apparue en lévitation sur une plateforme suspendue au-dessus du terrain du State Farm Stadium de Glendale (Arizona), où se jouait la finale du championnat professionnel de football américain NFL.

Celle qui a pris par surprise la pop mondiale il y a près de 18 ans avec son premier tube imparable « Pon de Replay » a enchaîné quelques-uns de ses 14 titres numéro un aux Etats-Unis, dont « Work », « We Found Love », « Umbrella » ou « Diamonds ».

Vêtue d’une combinaison rouge et d’un manteau assorti, Rihanna évoluait au milieu de plusieurs centaines de danseurs, tous habillés en combinaison blanche intégrale, certains sur des plateformes surélevées, d’autres sur le terrain même.

Si elle a effectué quelques mouvements de danse, la première milliardaire à assurer le show du Super Bowl (1,4 milliard de dollars de fortune personnelle) a livré une prestation sobre, inhabituelle pour le feu d’artifice qu’est ordinairement ce rendez-vous annuel.

Seule sur scène

La chanteuse n’a pas non plus accueilli d’invité, une autre rareté pour ce show durant lequel même Beyoncé, en 2016, avait partagé l’affiche avec Coldplay et Bruno Mars. Plus que la liste des chansons ou la chorégraphie, les fans ont surtout commenté le physique de Rihanna, dont la tenue moulante laissait entrevoir son ventre arrondi.

« RiRi enceinte? », a tweeté Holley Ford, journaliste de la chaîne NBC à Dallas. « Rihanna est peut-être enceinte, mais elle a peut-être aussi simplement le corps » d’une femme qui a récemment accouché, a prévenu, également sur Twitter, Alexa Lardieri, de New York, avant qu’un porte-parole de Rihanna ne mette fin au suspense.Neuf mois après la naissance de leur fils, Rihanna et A$AP Rocky n’ont toujours pas révélé son prénom. Au sujet de sa prestation au Super Bowl, Rihanna avait estimé, jeudi, qu’il était « important que (son) fils voit ça ».

SOURCE: Paris Match

FOCUS ASSEP – Maison de la Presse : contre la mauvaise gestion, l’État doit sévir

La colère est montée d’un cran lorsque le bureau légitime dirigé par Ousmane Dao a osé poser le problème de la gestion de l’aide publique allouée à la presse par l’État. Depuis ce jour-là, certains confrères sentant leur mort sont entrés en contestation contre ledit bureau. Aujourd’hui, les plus hautes autorités sont interpellées pour ouvrir des enquêtes contre nos confrères indélicats. Près de 291 millions de F CFA détournés. Depuis l’élection de Dramane Aliou Koné, à la présidence de l’Association des éditeurs de la presse privée (ASSEP) et à la présidence de la Maison de la presse, ce fut le festival de brigands. Son passage à la présidence des deux (02) faitières fut des plus calamiteux.

Dramane Aliou Koné, affectueusement appelé par ses intimes DAK, s’est bougrement enrichi sur le dos de ses confrères. De peur d’être rattrapé par la justice, DAK, membre du Conseil national de la transition (CNT), serait en fuite à Abidjan.Quant à l’actuel président de la Maison de la presse, Bandiougou Danté, il refuserait de partager la somme à sa disposition en laissant entendre que l’État ne donne que des miettes à la presse. De grâce, les confrères ont besoin de ces miettes. Dans le cas contraire, l’État doit montrer ses muscles dans ce dossier brûlant de l’heure. Avec ces affaires sales, la presse est aujourd’hui une honte.

ASSEP: des agitateurs pour se sauver et protéger leurs Complices

Ils sont nombreux dans le soi-disant bureau dit provisoire de l’Association des éditeurs de la presse privée (ASSEP) à trainer des casseroles. Il s’agit de cet agitateur qui a abandonné en plein vol la lutte contre les délinquants fonciers de la Cité de la presse au motif qu’un de ses parents a gracieusement bénéficié d’une parcelle de la part du président Dramane Aliou Koné. Il a-t-il intérêt à ce que la lumière soit faite sur l’affaire des parcelles de la Cité de la presse ?

À vous de juger.Un autre a fait disparaître entre le siège de Orange-Mali et celui de la Maison de la presse une tonne de sucre offerte (mois de ramadan) par cette société de téléphonie mobile aux journalistes. Il a aussi détourné le bœuf offert à la presse à la veille d’une fête de Ramadan. Peut-on faire confiance à ce dernier qui a trahi Dieu et ses confrères ?Cet autre agitateur transforme une des chambres en magasin durant le mois de ramadan pour stocker les vivres donnés par la Fondation d’un homme pieux à la presse. Un autre agitateur a détourné les fonds d’une grande boîte du ministère de l’Administration territoriale et des Collectivités locales alloués à la presse. Il a fait signer un contrat à une société agro-industrielle près de 20 millions de F CFA au nom de l’ASSEP. Et par la suite, il a détourné cet argent. Allez-y faire un tour sur la route de Sénou, non loin de l’Office National des Produits Pétroliers (ONAP). La liste est loin d’être exhaustive.

Le Sénégal, pays des hommes éclairés

L’enseignement a fait du Sénégal un pays des hommes éclairés .Ce pays a toujours occupé une situation privilégiée dans l’organisation de l’enseignement en Afrique. Parce qu’il était le plus ancien territoire français d’Afrique noire, c’est lui qui fut le plus rapidement doté d’écoles. Faidherbe ouvrit la première d’entre elles dès 1817 et organisa l’instruction, tant missionnaire que laïque. Il fonda aussi «l’école des otages» plus tard rebaptisée en école «des fils de chefs» où n’était admise que l’aristocratie traditionnelle.Au début de notre siècle, le Gouverneur William Merleau-Ponty créa le lycée Faidherbe de Saint-Louis (1910) et une École normale à Gorée, école qui devait, par la suite, former la plupart des dirigeants de l’Afrique d’expression française. Plus tard, un autre lycée fut ouvert à Dakar et, en 1950, un Institut de hautes études (IHE) qui était rattaché aux Universités de Paris et de Bordeaux et qui préparait au doctorat en médecine à la Licence en Droit ainsi qu’à quelques certificats de Lettres et de Sciences.En 1957 enfin, une Université française destinée aux étudiants de l’Afrique occidentale française était inaugurée à Dakar. Le Sénégal comptait à l’époque le plus grand nombre d’intellectuels en Afrique noire. En 1960, le taux de scolarisation était d’environ 28%Enseignement au Mali.

En 1960, le taux de scolarisation (calcul UNESCO) était encore très faible: 10%, et l’analphabétisme atteignait 95% de la population totale. La même année, le Mali disposait en moyenne quarante et un (41) maîtres pour 100 000 habitants. L’alphabétisation était à ses débuts à la fin de la colonisation.En 1960, 10% seulement des enfants maliens étaient scolarisés alors que la proportion était à la même époque de 35% pour l’ensemble du Sénégal, avec des pointes de 80% à Dakar et de 90% à Saint Louis.

Les mêmes différences apparaissent au plan de la santé. L’enseignement est à la traîne au Mali: 350 636 élèves dans les classes fondamentales, en 1978 (75 000 en 1962), 7800 classes, en 1978 (1 500 en 1962), 3 752 étudiants, en 1977 (104 en 1964), 35 000 adultes alphabétisés en langues nationales, répartis dans plus de 1 300 centres, témoignent de l’énorme effort de scolarisation entrepris, depuis 1962. Cet effort qui devait être fait par l’État est malheureusement anéanti par la privatisation de l’enseignement.

Sénégal en 1916: les ressortissants des communes de Dakar, Saint-Louis, Rufisque et Gorée avaient la citoyenneté française

La Loi du 28 septembre 1916 apportait donc une exception à ce principe en attribuant la citoyenneté française aux natifs des quatre (04) communes de plein exercice du Sénégal. Saint-Louis, Dakar, Gorée et Rufisque. Peu d’Africains bénéficiaient à cette époque du privilège de la citoyenneté française intégrale. En vertu d’une loi du 24 avril 1833, les habitants des colonies françaises étaient des «sujets français» privés des droits politiques et de la plupart des libertés publiques.

Source : L’inter de Bamako

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