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2ème édition des Mali Digital Awards : la grande messe du digital à Bamako c’est du 20 au 22 octobre prochain au CICB

Initié par l’agence Mali Digital en co-organisation avec la Société Malienne de transmission et de diffusion (SMTD), la 2ème édition des Mali Digital Awards (MDA) se tiendra du 20 au 22 Octobre 2022 au CICB sous le haut parrainage du ministre de la Communication, de l’Economie numérique et de la Modernisation de l’administration.

L’annonce a été faite par les organisateurs à la faveur d’une conférence de presse ce jeudi 29 septembre 2022 à l’Escale gourmande. Cet événement est le plus grand salon du digital malien rassemblant les acteurs du monde digital, les investisseurs et les décideurs. Il consiste aussi à recenser les jeunes entreprises de plus de six mois via des inscriptions qui évoluent dans le domaine du digital pour sélectionner les meilleurs entreprises et les accompagner. Baba Diarra, promoteur de Dashili et l’un des initiateurs des MDA explique que cette rencontre est un facteur clé du développement non seulement numérique mais économique du Mali. La rencontre sera également l’occasion de récompenser les jeunes entrepreneurs numériques qui travaillent jour et nuit à améliorer le niveau et le style de vie de la population malienne et à développer notre pays en posant les bases d’un développement durable. Programmée sur trois jours, ce rendez-vous du donner et du recevoir comprend 13 catégories mises en lumière, 20 trophées, 15 jurys, 15 conférences et ateliers, 1.000 participants, des rencontres B2B avec des investisseurs et une niche de création d’emplois pour les jeunes. Ada Ouologuem, coordinatrice des MDA souligne qu’ils donnent à la fois l’ensemble du nécessaire pour un épanouissement du Digital et de ses acteurs à travers leur plan qui est de concrétiser la transformation digitale en favorisant l’innovation et le partenariat. Des ressources massives qui ont déjà commencé à revitaliser et à remodeler notre secteur numérique, selon elle. « Nous faisons la promotion des principes de base pour toutes les entreprises numériques en Mali. Nous renforçons des règles du jeu équitables pour toutes les entreprises et des droits clairs pour tous les utilisateurs. Nous avons créé un « garde corps » pour protéger et soutenir l’évolution la plus cruciale de notre époque».

Leurs travaux porteront quelques axes : Recherche et la réflexion en mettant en place des plans d’action d’aide à la décision au gouvernement malien; Traduire notre excellence en recherche en innovation industrielle; Aider les petites entreprises innovantes à accéder à des compétences avancées, à des partenaires industriels et à des financements par actions. · Cette grande messe du digital au Mali s’achèvera avec une grande soirée de remise de trophées aux lauréats le 22 Octobre 2022. Les prix à la clé pour les lauréats du concours un million de franc cfa pour le trophée de l’innovation offert par Moov Africa Malitel. Un coaching personnalisé du personnal branding; Des formations en Développement web; 20 formations offertes par l’École Internationale de Graphisme du Mali; 5 bourses offertes par la Société des Mines d’Or de Syama ( SOMISY sa ) ; Une Bourse offerte par Sanlam assurances ; 3 bourses offertes par l’association 10000codeurs et autres. Les modalités de participation sont que les entrepreneurs et structures numériques souhaitant concourir aux MDA sont invités à s’inscrire en se rendant au plus tôt sur le site web de l’événement.

Kader Diarra

Scandale autour de l’Engrais subventionnés suite : Comment le PDG de la société HELIUM Investments Ltd, Ousmane Keita a tenté d’escroquer un jeune operateur économique Burkinabé…

Le contrat de convention de fourniture d’engrais subventionnés,  signé entre le ministre du Développement rural, Modibo Keita et la société de Ousmane Keita, PDG de HELIUM Investments Ltd, est il devenu moyen entre les mains de ce dernier pour escroquer les honnêtes fournisseurs étrangers ? En tout cas le jeune operateur économique Burkinabé, Nouffou Sankara, patron de la société Sank Globale Afrique ne dira pas le contraire. Les faits.

Le scandale d’engrais au Mali n’a pas fini de livrer tous ses secrets ! Suite à notre dossier sur l’engrais subventionnés introuvables, nous avons été saisis par le cri de cœur d’un jeune operateur Burkinabé du nom de M. Nouffou Sankara, PDG de la société Sank Globale Afrique, une entreprise spécialisée dans l’import export et la fabrication des intrants agricoles, basée au Burkina Faso et en Cote d’Ivoire. Dans ce dossier, il nous relate comment Ousmane Keita a voulu détourner ses camions chargés d’engrais sur la base de la convention de subvention N°010 DGMP/DSP-2022, qu’il a signé avec l’Etat, relative à la fourniture des intrants agricoles dans la zone Office du Niger. Cette histoire entre ces deux jeunes operateurs économiques fait dormir débout et interpelle l’Etat dans la désignation de ses prestataires de services.

De quoi s’agit-il ?

Le gouvernement du Mali, au titre de la campagne agricole 2022 a décidé de subventionner les intrants agricoles. Cette initiative vise à soutenir les exploitants agricoles familiaux à contribuer à l’atteinte de la sécurité alimentaire et nutritionnelle et à l’augmentation  des revenus des paysans.

A cet effet, un budget de 17 milliards de francs CFA a été alloué  au ministère du Développement rural  pour l’achat des engrais et une partie pour l’achat de semences de maïs hybride.

C’est dans cet ordre d’idée que le ministre du monde rural, Modibo Keita a retenu six sociétés dont il est le seul à connaitre les critères d’éligibilité pour fournir l’engrais subventionnés aux paysans de l’Office du Niger. Parmi ces sociétés, HELIUM Investments Ltd le grand méconnu du monde des fournisseurs d’engrais au Mali, a bénéficié un contrat de plus de 1 milliards 600 millions de F CFA pour la livraison 2.500 tonnes d’engrais. Comme n’ayant pas la capacité financière ni matérielle pour traiter ce marché, et décramponner par les banques,  Ousmane Keita, PDG de HELIUM tente de sous traiter ou marchander sa convention au plus offrants, enfin d’empocher ses sous. Peine perdue ! Face à l’incapacité notoire des fournisseurs défaillants, incapables de fournir un  seul sac d’engrais. Les hautes autorités ont décidé début septembre 2022 pour sauver la campagne agricole de remplacer 5 sociétés défaillantes sur les 6 retenues par le ministre, dont HELIUM par les vrais fournisseurs en occurrence les société Gnoumanie-Sa pour une quantité de plus 3.500 tonnes d’urée, Planète, KO2 et DPA chacune  2.000 tonnes, soit au total 9.500 tonnes pour tout le Delta. Pour ne pas sortir bredouille de ce business juteux, le patron de HELIUM va user d’autres techniques pour avoir de l’engrais. Ces cibles cette fois ci, les fournisseurs d’engrais établis à l’étranger.

 « Je suis victime… »

C’est ainsi que par le biais de Ismaël Mariko, point focal de la société Sank Globale Afrique à Bamako, que son patron Nouffou Sankara rentre en contact avec le nommé Ousmane Keita  début septembre pour acheter 2.500 tonnes d’engrais avec sa société. Comme n’ayant la liquidité, ni la garantie nécessaire, l’operateur économique Burkinabé décline l’offre dans un premier temps.

« C’est là monsieur Keita m’a dit qu’il a eu un marché avec l’Etat malien. Mais, qu’il n’a pas reçu l’argent de la part de l’Etat d’abord. Mais, que une fois l’engrais sur place qu’il va me payer via ses banques. Vu que la convention qu’il m’a montrée est authentique. Pour moi, l’Etat traite avec des gens ou des entreprises fiables. J’ai montré ma bonne foi pour accompagner Ousmane. A sa demande, j’ai établi un contrat de livraison de 1.200 tonnes entre les deux sociétés, livrables en 15 jours. Comme, j’ai l’engrais et les camions. Je lui ai promis pour un premier départ de l’envoyer deux chargements de 50 tonnes à condition de payer l’argent une fois la marchandise sur place. Pour cette proposition, nous sommes tombés d’accord et Keita m’a dit qu’il a l’exonération sur les marchandises et un laisser passer à la douane. J’ai mis les chargements  d’engrais au nom de sa société Helium trajet Abidjan- destination Ségou. »  d’entrer en jeu nous a confié, M. Sankara.

« Cette entreprise opère  dans du faux »

Dans cette affaire tout allait bien du lieu de chargement en passant le transit et à la douane jusqu’à l’arriver du colis à Ségou. Et le jeune burkinabé n’a rien soupçonné. Dans un premier temps, Keita tente de dévier le trajet des camions en les amenant à Bamako au lieu de Ségou à travers la  manipulation des documents de la douane au motif de l’Exo. Cette tentative échoua grâce aux vigilances du point focal, Ismaël Mariko.  Un bras de fer s’installa alors entre Mariko   et Ousmane Keita.

Donc une fois le premier camion  arriva à la direction régionale des  douanes de Ségou pour les formalités administratives et douanières avant la livraison, les choses se compliquent.

« Monsieur Keita m’appelle et me demande de faire un écrit pour désengager la responsabilité de mon point focal Ismaël Mariko au motif qu’il rien avoir avec ce business qu’il est un simple intermédiaire entre nous. Chose que, j’ai refusé. Le camion a fait une semaine en douane M. Keita est injoignable. Quand je l’ai eu après,   il met pression sur moi en me demandant d’écarter Mariko et de traiter directement avec lui que sinon que lui ne paie pas et il va bloquer mes camions. C’est là, j’ai compris que cette entreprise opère dans du faux. Je lui ai dit M. Keita, je ne te connais pas, comment je peux désengager la responsabilité de mon représentant qui te connait et qui est à la base de notre relation ? Le camion est sur place, il te demande juste de payer l’argent au lieu de ça tu le harcèles. » révèle notre interlocuteur.    

« Tu me paies 11 millions ou je bloque ton camion. »

Désemparer par la ténacité du point focal Mariko  qui ne lâche pas prise et  suit le camion de son patron comme du lait sur le feu, Ousmane Keita tombe dans le chantage aux dires de M. Sankara.

« Face à mon refus d’écarter Mariko, mon point focal. Il dit qu’il arrête le contrat avec moi.  Je lui ai répondu que le contrat s’arrête lorsque, tu vas solder le camion qui est à Ségou. Il m’a dit qu’il s’en fou et d’ailleurs, si je veux qu’il fait sortir mon camion  au niveau de la douane  de lui payer 11 millions car le camion est rentré à son nom et que lui a fait des dépenses. Je lui ai demandé de justifier ses dépenses sur la base des documents. Il n’a pas pu. Il me met en contact avec un supposé agent des douanes pour me faire du chantage. Ce dernier me demande à son tour de payer 7 millions pour les pénalités douanières pour un camion.» regrette l’operateur économique Burkinabé.

Pour se tirer d’affaire et échapper à cette escroquerie organisée, M. Nouffou Sankara a sollicité le service d’un transitaire malien pour récupérer sa marchandise et son camion en faisant une nouvelle procédure de dédouanement au nom de sa société. Apres deux semaines de bras de fer M. Sankara a pu faire sortir son camion des griffes de M. Ousmane Keita qui voulait le gruger et cela grâce à la clairvoyance des responsables des douanes de Ségou.

« Je traduirai l’Etat en justice. »

Joins par nos soins pour les besoins de recoupements, M. Ousmane Keita n’a pas nié les faits et traite l’intermédiaire Mariko de tous les noms d’oiseaux. « Le camion est au nom de ma société Mariko n’est qu’un coxeur. Si je dois traiter, c’est avec la société Sank Globale. »  a-t-il martelé. A la question de savoir si sa convention de subvention est toujours valable car il n’a pas pu honorer ses engagements face à l’Etat et que l’exécution du marché a été confiée à d’autres fournisseurs.  Il répliqua « Avez-vous une notification pour ça ? J’ai signé une convention de livraison de 2.500 tonnes d’engrais en bonne et dû forme   avec l’Etat. Cette convention arrive à terme le 31 octobre 2022. Donc mon contrat est toujours valable car je n’ai pas reçu de notification de la part du ministre. Si l’Etat casse mon contrat, je le traduirai en justice. Donc, vous pouvez dire ce que vous voulez. »  a-t-il conclu Ousmane Keita le PDG de HELIUM.

Face à cette situation qui a une odeur d’escroquerie et d’abus de confiance  dans le climat des affaires sur la base des documents signés par l’Etat, nos autorités doivent tirer au clair. Car cette pratique saugrenue de nouvelle race d’hommes d’affaires maliens, peut impacter le milieu des vrais operateurs économiques et même ternir l’image de notre pays et porter par ricochet préjudice à des innocents commerçants maliens dans les jours à venir. A suivre…

 Aliou Badara Diarra

MINES : Le Mali se dote d’une société de recherche et d’exploitation des ressources minérales

La création de la société de recherche et d’exploitation des ressources minérales est l’une des décisions issues du conseil des ministres du mercredi 24 août 2022. Une bonne initiative pour qui sait que notre pays dispose d’un vaste potentiel dans les domaines pétrolier et gazier couvrant une superficie de 900 mille Km2.

Pour la mise en valeur de ces nombreuses ressources, et conformément aux recommandations des Assises nationales de la Refondation, le projet d’ordonnance adopté crée cette importante société. La société a pour objet la recherche, l’exploitation, le traitement et la commercialisation des substances minérales dans les limites des périmètres qui lui sont octroyés.

AMINATA KONATE-BOUNE, FEMME LEADER : «La refondation de toute société commence par une remise à plat des mentalités et des pratiques»

Nous sommes à la fin de Mars, mois dédié aux femmes dans notre pays. Ainsi prennent fin trente-un jours d’activisme en faveur de  celles qui constituent aujourd’hui plus de la moitié de la population malienne. Pour Mme Aminata Konaté-Boune, cadre de l’Education nationale française/personne ressource de la Diaspora malienne de France, c’est une bonne opportunité de nous livrer le résultat de sa profonde réflexion sur la complémentarité homme/femme dans la refondation.

Comment leur dire ! Comment leur dire que patriotisme ne rime pas avec genre et que c’est l’affaire de tous : hommes et femmes confondus ? Comment leur dire que la refondation nous incombe tous et chacun à notre niveau ? Comment leur dire que s’il est communément admis que la Femme est une sentinelle de paix et de développement, sa participation active à la refondation du Mali ne devrait pas se poser ?

Mais comme nous en sommes encore à nous demander, dans quelle mesure ce pilier de toute société que représente la femme, peut ou doit y contribuer, voici en quelques lignes ma vision. Tout le monde veut que ça change, mais personne ne veut changer. Il sera difficile d’évoluer dans ce sens. Et si, nous Femmes, nous commencions par nous indigner de ce qui ne va pas et ce sur quoi nous avons une prise directe, en étant le changement souhaité…

J’en reviens donc inéluctablement au fer de lance constitutif de toute société, marchant sur ses deux jambes : l’éducation, parce que nous demeurons, quoiqu’on en pense, les gardiennes des valeurs universelles qui fondent le vivre ensemble nécessaire à l’évolution humaine. Je propose un changement de paradigme vers une société trans-moderne où les visions, les compétences et les intuitions féminines seraient prises en compte dans une communion des genres, où l’éducation transmise servirait à lutter contre les pratiques corruptives et discriminatoires qui ont gangrené notre société et encore notre époque.

Le temps n’est plus à la réparation, mais bien à la refondation. La refondation de toute société commence par une refondation humaine. Une remise à plat des mentalités et des pratiques s’impose à nous parce que le changement souhaité ne se décrète pas. Il se réfléchit, s’anticipe, se prépare. Il nécessite une adhésion pleine et entière avec une pleine prise de conscience des changements quotidiens que cela suscite. Un proverbe soninké nous rappelle «que c’est de la terre molle que jaillissent les plus belles poteries». En d’autres termes, miser sur l’éducation de nos enfants dès leur plus jeune âge constitue le gage d’une meilleure société fondée sur la préservation du bien commun, dans une logique de sérieux, de probité et de pragmatisme.

Mais attention, le compromis demandé ne saurait être une compromission. En effet, il s’agit bien là, pour nous, d’apporter une contribution à la gouvernance compétente dans cette transformation voulue et attendue du Mali et plus généralement du monde, car les choix que nous faisons actuellement seront déterminants et conditionneront nos existences. S’il était encore besoin de rappeler certains exemples de réussite lorsque la femme est pleinement associée à la gestion d’un pays, je ne citerai ici que le Rwanda, dont le parlement est constitué à 60 % de femmes et dont la croissance économique ne cesse d’augmenter depuis cette implication féminine exemplaire aux affaires du pays.

Je conclurai donc mon propos par ce proverbe brésilien qui dit que «l’homme ressemble à tout le monde et que la femme ne ressemble à personne». Apportons donc cette singularité qui est nôtre au service d’un objectif commun, car en définitif on ne perd que les batailles que l’on ne mène pas !

Aminata Konaté-Boune

Cadre de l’Education nationale française
Personne ressource de la Diaspora malienne de France
Chevalier de l’Ordre National du Mali

Transport et sécurité : Nextan Mali est là !

Une nouvelle société technologique pour la sécurisation et la dématérialisation du transport dénommée Nextan Mali a vu le jour au Mali. Elle a fait son lancement à la faveur d’un point-presse tenu ce vendredi 28 janvier dans la salle de conférence du ministère de l’Entrepreneuriat national, de l’Emploi et de la Formation professionnelle. C’était sous la présidence de Bakary Doumbia, ministre dudit département.

Selon Salah Boubacar Daou, le projet Nextan Mali vise entre autres à sécuriser les usagers des moyens de transport, notamment d’automobile et les motos cyclistes contre le vol. Cela, grâce à un système d’alerte et de géolocalisation. A l’en croire, ce système permet en plus de géolocaliser, de couper le moteur d’un engin à distance en cas de vol. D’après l’administrateur général, Nextan permet également à l’État de recouvrir les recettes fiscales et la dématérialisation des documents de transport. Suivant ses propos, cette  nouvelle technologie aide de façon  efficace les agents de contrôle dans leurs tâches quotidiennes, mais aussi à sensibiliser sur la sécurité routière. C’est pourquoi Salah Boubacar Daou a affirmé qu’en mettant en œuvre cette technologie, les Maliens seront mieux protégés contre l’insécurité.

D’après lui, le projet Nextan Mali est un système made in Mali, par des développeurs maliens,  perfectionné et financé à hauteur de 47 milliards par le partenaire Nextan groupe, basé à Singapour, pour une durée de 5 ans. L’application de ce projet diminuera le chômage des jeunes, avec la création de plus de 600 emplois directs et plus de 7000 indirectes, et l’installation d’environ 103 agences à travers tout le pays, a expliqué l’administrateur général.

Pour sa part, Bakary Doumbia, ministre de l’Entrepreneuriat national, de l’Emploi et de la Formation professionnelle, s’est félicité d’un dispositif innovant au bénéfice des mairies, des services des impôts, des transports, de la sécurité, des collectivités territoriales, et des usagers, avec un fort impact sur la lutte contre le chômage. Et de remercier la société Nextan pour l’initiative. Avant de lui rassurer de l’accompagnement du gouvernement à travers son département.

Jiadata MAIGA