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Discours de Son Excellence le Colonel Assimi Goita, Président de la Transition, Chef de l’Etat à l’occasion de la célébration de la 62ᵉ fête d’indépendance de la République du Mali

« Il y a soixante-deux ans que les pères fondateurs du Mali célébraient, en communion avec le peuple, l’accession de notre pays à la souveraineté nationale et internationale.
Cet événement historique que nous consacrons à notre tour est un rendez-vous citoyen auquel chaque Malienne et Malien doit accorder la plus haute importance, car c’est le jour du Souvenir de notre dignité retrouvée après une longue période de domination coloniale. C’est pour cette raison que nous plaçons ce 62e anniversaire sous le signe de l’ « Union dans la Souveraineté retrouvée. »

Extrait du discours du président de la Transition, Chef de l’Etat, Son Excellence le Colonel Assimi Goita à l’occasion de la célébration de la 62ème fête d’indépendance de la République du Mali.

«Le Mali se trouve à une phase décisive de son histoire. Ce n’est donc pas le moment de succomber aux démons de la division, malgré les actions de manipulation et les campagnes médiatiques mensongères à but subversif, visant à saper le moral de nos vaillants soldats et à créer la confusion au sein de notre peuple.
Rappelons-nous, l’union nous a toujours permis de triompher sur l’adversité, alors que la division a donné à nos ennemis la possibilité d’avoir la victoire sur nous».

Extrait du discours du président de la Transition, Chef de l’Etat, Son Excellence le Colonel Assimi Goita à l’occasion de la célébration de la 62ème fête d’indépendance de la République du Mali.

« Il me plait ici de saluer, une fois de plus, la résilience du brave peuple malien qui, dans la plus grande dignité, a supporté les difficultés et désagréments engendrés par cette situation. Ces sanctions, conjuguées avec d’autres facteurs, ont occasionné une augmentation du coût de la vie qui a affecté l’ensemble de la population, mais plus particulièrement les couches vulnérables. Il est heureux que nous ayons tous pris conscience du fait que c’était le prix à payer pour atteindre nos objectifs à moyen et à long terme».

Extrait du discours du président de la Transition, Chef de l’Etat, Son Excellence le Colonel Assimi Goita à l’occasion de la célébration de la 62ème fête d’indépendance de la République du Mali

« Il y a soixante-deux ans que les pères fondateurs du Mali célébraient, en communion avec le peuple, l’accession de notre pays à la souveraineté nationale et internationale.
Cet événement historique que nous consacrons à notre tour est un rendez-vous citoyen auquel chaque Malienne et Malien doit accorder la plus haute importance, car c’est le jour du Souvenir de notre dignité retrouvée après une longue période de domination coloniale. C’est pour cette raison que nous plaçons ce 62e anniversaire sous le signe de l’ « Union dans la Souveraineté retrouvée. »

Message du Secrétaire général publié à l’occasion de la Journée internationale de la paix – 21 septembre 2022

La paix est une aspiration noble et essentielle, et constitue le seul chemin vers un monde meilleur et plus juste pour toutes et tous.

Pourtant, en de trop nombreux lieux, dans beaucoup trop de situations, nous ne sommes pas à la hauteur de cette quête de paix.

Cette année, le thème de la Journée internationale de la paix – « Mettre fin au racisme, Bâtir la paix » – nous rappelle que, de très diverses manières, le racisme empoisonne les cœurs et les esprits et fragilise la paix à laquelle nous aspirons toutes et tous.

Le racisme arrache aux personnes leurs droits et leur dignité. Il exacerbe les inégalités et la méfiance. Et il éloigne les gens les uns des autres à un moment où nous devons être unis, comme une seule famille humaine, afin de réparer notre monde fracturé.

Au lieu de lutter les uns contre les autres, nous devrions agir pour défaire nos véritables ennemis : le racisme, la pauvreté, les inégalités, les conflits, la crise climatique et la pandémie de COVID-19.

Nous devrions démanteler les structures qui alimentent le racisme et promouvoir les mouvements de défense des droits humains partout dans le monde.

Et nous devrions étouffer les dangereux discours de haine en réclamant, à l’unisson et sans fléchir, la vérité, l’entente et le respect mutuel.

En cette journée importante – l’occasion d’observer 24 heures de cessez-le-feu et de non-violence – nous demandons une nouvelle fois à toutes et tous de ne pas se contenter de faire taire les armes.

Nous invitons chaque personne à renouveler les liens de solidarité qui nous unissent en tant qu’êtres humains et à retrousser les manches et construire un avenir meilleur et plus pacifique.

NORD DU MALI : Après Ménaka l’ancien Premier Ministre Moussa Mara était à Gao pour distribuer des vivres à l’occasion du mois saint du Ramadan

Dans le souci de redonner l’espoir aux populations du nord, Moussa Mara, l’un des rares leaders politiques du Mali actuel, s’est rendu à Ménaka le mercredi 13 avril puis à Gao le jeudi 14 avril 2022. Arrivée à Gao en provenance de Ménaka, la délégation de l’ex Premier Ministre s’est rendue au Gouvernorat puis à la Mairie pour les salutations d’usages.

C’est à l’issu des salutations chez le « Alkaido »  de Gao, le chef traditionnel des « Armas » qui sont les Touré et chez le grand Imam Alpha Oumar, que Moussa Mara s’est rendu dans des villages des  Communes de Soni et de Gouzourey, plus précisément au village de Wabaria (traversant le Pont Wabaria que Kadhafi a financé au Mali) et le village de Zindiga dans la commune de  Soni pour faire des dons de vivres aux personnes dans le besoin.

De retour dans la ville de Gao, il a procédé à des donations aux  déplacés de Tessit et de N’Tillit  vivant à Gao. Comme cela est de tradition, la mosquée de l’imam Alpha Oumar et les femmes veuves des militaires ont également reçu leur part de don en vivres.

Pour Moussa Mara, c’est le Mali et non Bamako seul, Moussa Mara a rassuré les uns et les autres de son accompagnement et soutien quel que soit le problème que la population de Gao aura à affronter. À cet effet, il a vivement été remercié par les notabilités religieuses, administratives et municipales pour ses déplacements de partout, surtout étant en jeûne, en cette période de forte chaleur et d’insécurité grandissante.

Aussi, Moussa Mara a jugé nécessaire de passer au siège de la Coordination Régionale du Mouvement  des Jeunes Patrouilleurs de Gao. Là-bas, il a fait part de la vie chère qui gangrène le monde avant d’informer que même si le pays était dans une situation normale, l’état ne peut pas tout faire dans un pays. Ainsi, il a exhorté les uns et les autres à plus de solidarité pour pallier aux problèmes communs tout en réaffirmant son soutien et son encouragement au combat que mène les jeunes de Gao à travers le mouvement des Patrouilleurs pour la sécurisation et le bien-être de la population. Les jeunes ont salué sa démarche tout en lui rassurant qu’ils redoubleront les efforts afin de maintenir le cap pour un Mali fort dans la clarté et l’ultime honnêteté.

Par ailleurs, il faudra noter qu’en marge de ces activités de don en vivres, le chef de village de Wabaria a fait une demande de construction d’école à Wabaria. A cela, Moussa Mara s’est réjoui tout en informant le village sur les voies et moyens pouvant aboutir à l’acquisition d’une école. Il a instruit au maire du village d’écrire une lettre au Ministre chargé de l’éducation et qu’il est prêt à accompagner ce dernier pour la facilitation du processus d’acquisition d’une école.

Dognoume Diarra