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Message du Secrétaire général publié à l’occasion de la Journée internationale de la paix – 21 septembre 2022

La paix est une aspiration noble et essentielle, et constitue le seul chemin vers un monde meilleur et plus juste pour toutes et tous.

Pourtant, en de trop nombreux lieux, dans beaucoup trop de situations, nous ne sommes pas à la hauteur de cette quête de paix.

Cette année, le thème de la Journée internationale de la paix – « Mettre fin au racisme, Bâtir la paix » – nous rappelle que, de très diverses manières, le racisme empoisonne les cœurs et les esprits et fragilise la paix à laquelle nous aspirons toutes et tous.

Le racisme arrache aux personnes leurs droits et leur dignité. Il exacerbe les inégalités et la méfiance. Et il éloigne les gens les uns des autres à un moment où nous devons être unis, comme une seule famille humaine, afin de réparer notre monde fracturé.

Au lieu de lutter les uns contre les autres, nous devrions agir pour défaire nos véritables ennemis : le racisme, la pauvreté, les inégalités, les conflits, la crise climatique et la pandémie de COVID-19.

Nous devrions démanteler les structures qui alimentent le racisme et promouvoir les mouvements de défense des droits humains partout dans le monde.

Et nous devrions étouffer les dangereux discours de haine en réclamant, à l’unisson et sans fléchir, la vérité, l’entente et le respect mutuel.

En cette journée importante – l’occasion d’observer 24 heures de cessez-le-feu et de non-violence – nous demandons une nouvelle fois à toutes et tous de ne pas se contenter de faire taire les armes.

Nous invitons chaque personne à renouveler les liens de solidarité qui nous unissent en tant qu’êtres humains et à retrousser les manches et construire un avenir meilleur et plus pacifique.

Message du secrétaire général des Nations-Unies à l’occasion de la journée internationale pour la protection de l’éducation contre les attaques

L’éducation est un droit humain fondamental et tient un rôle décisif dans la réalisation de la paix et du développement durable.

Malheureusement, ce droit continue d’être attaqué, en particulier dans les zones touchées par des conflits. En 2020 et 2021, la Coalition mondiale pour la protection de l’éducation contre les attaques a dénombré plus de 5 000 cas dans lesquels des écoles et des universités avaient été la cible d’attaques ou utilisées à des fins militaires. Plus de 9 000 étudiants et éducateurs ont été tués, enlevés, arrêtés arbitrairement ou blessés. Il s’agissait pour la majorité de femmes et de filles.

Ces attaques empêchent des millions d’apprenants vulnérables d’accéder à l’éducation et exacerbent les risques de violences sexuelles et de recrutement d’enfants par des groupes armés. Il faut que cela cesse immédiatement. Les salles de classe doivent rester des lieux de paix et d’apprentissage.

Je me félicite des mesures prises par de nombreux pays pour protéger les établissements d’enseignement et celles et ceux qui en ont besoin, et je demande instamment à tous les États Membres d’approuver et de mettre en œuvre la Déclaration sur la sécurité dans les écoles. Les obligations découlant du droit international et du droit international humanitaire doivent être respectées. Il faut continuer de recenser les attaques, enquêter sur toutes celles qui sont commises et amener leurs auteurs à en répondre.

En cette Journée internationale pour la protection de l’éducation contre les attaques et en vue du Sommet sur la transformation de l’éducation qui se tiendra prochainement, œuvrons ensemble pour garantir à toutes et à tous un accès à une éducation sûre.

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Journée Panafricaine de la Femme : la cellule CAFO de Kalaban-Coro magnifie les femmes africaines

Dans le cadre de la journée panafricaine de la femme célébrée chaque 31 juillet, la cellule de la coordination des associations et organisations non gouvernementales féminines du Mali (CAFO) de Kalaban-Coro a organisé une conférence débat sous le thème : « Femmes rurales actrices clé de la sécurité alimentaire et nutritionnelle ».

La journée panafricaine de la femme a été créée pour reconnaître et affirmer le rôle de l’organisation des femmes pour la liberté politique de l’Afrique et pour promouvoir le statut social et économique des femmes sur le continent. L’occasion était belle pour les femmes de Kalaban-Coro de mettre à l’honneur les femmes rurales, ce vendredi 19 août 2022 à la mairie de la dite  commune.

Le choix du thème n’est pas anodin puisque la femme rurale est au cœur de la vie de la famille. Elles occupent toute la chaine alimentaire et nutritionnelle à commencer par leurs travaux champêtres jusqu’au contenu des assiettes. Ce sont leurs maris et leurs enfants qui consomment le contenu de ces assiettes, donc elles sont au cœur de la vie familiale.

Tiékoura Amadoun Diarra, le maire de la commune rurale de Kalaban-Coro se dit honorer d’accueillir les femmes au sein de la mairie. Les femmes sont la vie parce qu’elles donnent naissance à l’enfant qui est l’avenir, dit le maire. Elles méritent d’être magnifiées car elles peuvent contribuer encore plus au développement de la nation avec la transformation des produits locaux, selon lui. Mme Diarra Fatoumata Samaké, la présidente de la cellule CAFO souligne que les femmes sont des actrices essentielles du développement rural et de l’agriculture durable indispensable à la sécurité alimentaire et nutritionnelle. Le Mali a abrité le secrétariat général de l’OPF (organisation Panafricaine des femmes) de sa création en 1962 jusqu’en 1968 et dirigé par la célèbre femme guinéenne Mme Jean Martin Cissé, explique la présidente. Le siège fut transféré en Algérie de 1968 à 1986 suite aux évènements de 1968 au Mali, dit-elle. De 1986 à maintenant le siège est en Angola. De nos jours, il y a cinq  secrétariats régionaux qui sont : l’Afrique du Nord ; l’Afrique de l’Est ; l’Afrique centrale ; l’Afrique Australe et l’Afrique de l’Ouest, pour cette dernière le bureau régional est à Bamako depuis 1997, conclu la présidente.

Kader Diarra

Message de Aliou Boubacar Diallo, président d’honneur de ADP MALIBA, à l’occasion de la célébration de la Journée Panafricaine des Femmes, le 31 juillet

Aux femmes d’Afrique
Aux femmes du Mali
Ce 31 juillet 2022, nous célébrons la Journée Panafricaine des Femmes.
Cette journée marque la reconnaissance du combat des femmes pionnières africaines pour l’émancipation de nos sœurs. L’initiative en revient à la première femme député du Mali en la personne de Aoua KEITA. C’était le 31 juillet 1962 à Dar Es Salam en Tanzanie.
C’est donc l’occasion pour moi, en ce jour anniversaire de rendre hommage aux braves femmes du continent africain en général et aux femmes maliennes en particulier pour leur rôle dans l’édification de l’unité africaine et du développement socio économique du continent.
Je souhaite une bonne Journée Panafricaine des Femmes à toutes nos mères, sœurs, filles et épouses de l’Afrique.
Qu’Allah bénisse le Mali.
Aliou Diallo
Président d’Honneur de l’ADP-MALIBA

Célébration de la Journée internationale du Travail : Hamadoun Amion Guindo, de la CSTM interpelle les autorités de la transition sur la cherté de la vie

La Journée Internationale du Travail a été célébrée au Mali comme dans plusieurs autres pays du monde. Cette célébration a été faite à travers les syndicats nationaux des travailleurs. A cette occasion, la Confédération Syndical des Travailleurs du Mali (CSTM) a célébré cette journée par la tenue d’une conférence débat, mardi 10 Mai 2022 à leur siège sis au Quartier du fleuve. Le thème retenu pour cette année était « Le Mali notre destin commun approprions nous en ». C’était en présence du représentant de la ministre du Travail, de la Fonction publique et du Dialogue social, Mamadou Konaté, du camarade secrétaire général Amadoun Amion Guindo, de l’adjoint à celui de l’Union Nationale des Travailleurs Mali (UNTM) aussi le camarade Abdrahamane Infa Touré et de nombreux invités.

Confédération syndicale des travailleurs du Mali (CSTM)

Il faut d’abord retenir que  lors de cette rencontre cinq thèmes ont été au centre des débats, il s’agit entre autre de « l’historique du mouvement syndical en général et en particulier au Mali », « les assises nationales de la refondation : objectifs, politique d’appropriation par les populations, processus et chronogramme de mise en œuvre », « les sanctions de la CEDEAO : base juridique, quels impacts socio-économique et politiques pour le Mali ? » D’autres débats ont aussi porté sur le « Terrorisme et crises sécuritaires au Mali : gestion et résolution. Quelle implication des forces vives de la nation ? » Et « l’apaisement du climat sociopolitique actuel du pays : quelle contribution du mouvement syndical malien en général et de la CSTM en particulier »

Le camarade secrétaire général a commencé par féliciter les sacrifices consentis associé à la résilience manifestée par la population en général et les travailleurs en particulier dans la double crise sécuritaire et sanitaire imposée à notre pays, accentuée par les sanctions du 9 janvier 2022. Hamadoun Amion Guindo a ensuite interpellé les autorités de la transition à tout mettre en œuvre pour éviter aux travailleurs et à la population de sombrer sous le poids de la cherté de la vie, toute chose qui pourrait être source de tension sociale. Il a saisi l’occasion de cette 136ème année de commémoration du 1er Mai par la communauté internationale et la 24ème année de célébration de son syndicat pour souligner que la situation de notre pays est préoccupante à travers les complots qui se préparent par les détracteurs du Mali. Cependant, poursuit-il il y a lieu d’espérer sur un lendemain meilleur auquel les populations seront comptables. « C’est pourquoi je vous exhorte encore à plus de résilience surtout à plus de vigilance pour ne pas tomber dans les pièges de nos détracteurs dont le principal motif est de nous déstabiliser pour conduire un système de gouvernance que nous estimons dépassé », a encouragé Hamadoun Amion Guindo. Avant d’ajouter qu’il  rappel au gouvernement et au patronat les accords signés en septembre 2021 pour lesquels, des commissions de suivi ont été mis en place.

Pour sa part, le représentant de la ministre du Travail a félicité le secrétaire général du CSTM pour cette initiative qui est encourageant. Il a indiqué que cette conférence est une preuve de solidarité entre les travailleurs du Mali. Selon Mamadou Konaté c’est un acte qui doit être pérennisé, car les syndicats doivent avoir les mêmes objectifs.

Alou Badra DOUMBIA

JOURNEE CARRIERE ET FORMATION CONTINUE EN PHARMACIE : La 3è édition vécue sous le thème : « Pharmacovigilance notifications des effets indésirables des médicaments »

Organisée par le Collectif des Jeunes Pharmaciens du Mali (COJEP), cette journée a été célébrée le samedi 05 Mars 2022 au Centre International de Conférence de Bamako (CICB), sous le thème : « Pharmacovigilance notifications des effets indésirables des médicaments » et avait comme marraine Dr Cissé Djita Dème, pharmacienne et promotrice de la pharmacie bien-être.

Étaient présents à la cérémonie d’ouverture de cette journée, le représentant du Ministre de la Santé et du Développement Social, Dr Cheick Oumar Dembélé ; Le représentant du Conseil de l’Ordre des Pharmaciens du Mali, Dr Aliou Badra Wade ; Des pharmaciens ; Des étudiants en pharmacie ; Des associations pharmaceutiques ; Des syndicats de la santé ainsi que des Professeurs et Maîtres de Conférence de la Faculté de Pharmacie.

Dans son discours, le Dr Lassine Diallo, Président de la Commission d’organisation de cette 3ème édition a remercié le bureau et l’ensemble des membres du COJEP pour la confiance portée à sa personne et les efforts fournis par les uns et les autres pour la réussite de la journée avant d’ajouter que le COJEP est une association qui rassemble tous les jeunes pharmaciens du Mali de moins de 45 ans.

Le Président du COJEP, Dr Jules Amadou Togo, dans son allocution dira que la journée carrière et formation continue en pharmacie est un évènement biannuel qui se veut d’être un cadre d’information, d’orientation et de formation des étudiants en pharmacie et des jeunes pharmaciens. Elle sert aussi de cadre d’échange entre les différents acteurs des différentes sections de la profession pharmaceutique sur les défis auxquels est confrontée la profession.

Et d’ajouter que le choix du thème central de cette édition n’est pas fortuit, car il résulte de plusieurs constats qui sont entre autres, la faible notification des effets indésirables des médicaments, l’insuffisance dans la formation des agents de santé sur la notification des effets indésirables des médicaments dans les établissements de santé. Notamment ceux du secteur privé, la faible collaboration entre les structures publiques et les établissements de santé privés dans la notification des effets indésirables des médicaments, la méconnaissance du circuit de transmission de la fiche de notification.

Selon Dr Jules Amadou Togo, pour pallier à ces insuffisances, le COJEP a décidé d’organiser cette 3è édition autour de la grande thématique « Pharmacovigilance notifications des effets indésirables des médicaments ».

La marraine de l’événement Dr Cissé Djita Dème, dans son discours a montré son sentiment de fierté d’être la marraine de cet événement. Elle a précisé que la formation continue des pharmaciens était l’une des préoccupations majeures du bureau du conseil national de l’ordre des pharmaciens du Mali dont elle dirigeait. Elle a mis un accent particulier sur le choix du thème retenu. Elle estime que ce choix est conforme avec le rôle d’acteur que jouent les pharmaciens.

Le Dr Aliou Badra Wade, Président du Conseil de l’Ordre des Pharmaciens du Mali a félicité le COJEP pour l’organisation de cet événement et a invité les jeunes pharmaciens à la cohésion et à se former davantage pour faire face aux défis. Quant au représentant du Ministre de la Santé et du Développement Social, le Dr Sékou Oumar Dembélé, il a félicité les membres du COJEP pour la régularité de l’initiative et la pertinence du thème. La remise des distinctions de reconnaissance à certains pharmaciens a mis fin à cet événement. À noter que la journée carrière et formation continue en pharmacie a débutée en 2018 par le COJEP.

Korodio Coulibaly

JOURNÉE MONDIALE DE L’EAU AU MALI : Les ressources souterraines au cœur du débat

Dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale de l’eau, prévue pour le 22 mars 2022, le directeur national de l’hydraulique du Mali, Djoouro Bocoum, accompagné de plusieurs responsables du secteur de l’eau au Mali, a animé une conférence de presse, mercredi 16 mars 2022, dans un hôtel de la place. Le thème retenu pour l’édition 2022 est : « Les eaux souterraines, rendre visible l’invisible ». 

Selon les conférenciers, l’objectif général affiché de cette conférence de presse est d’attirer l’attention des décideurs, des acteurs du secteur et des usagers sur la nécessité de la préservation des eaux souterraines. De manière spécifique, il s’agit d’informer et sensibiliser les acteurs et usagers sur l’état des lieux des ressources en eau du Mali « eau de surface et souterraine » ; d’informer et sensibiliser les acteurs et usagers sur l’importance des eaux souterraines dans l’approvisionnement en eau potables ; d’informer et sensibiliser les acteurs et usagers sur le rôle essentiel des eaux souterraines dans l’adaptation aux changements climatiques ; d’amener les décideurs à prendre des mesures concrètes pour la préservation des eaux souterraines.

En effet, les eaux souterraines sont l’eau que l’on trouve sous terre dans les aquifères, formations géologiques de roches, de sables et de graviers où sont retenues : des quantités d’eau importantes. Les eaux souterraines alimentent les sources, les cours d’eau, les lacs et les zones humides, et s’écoulent vers les océans. Elles sont reconstituées principalement par la pluie et la neige qui s’infiltrent dans le sol. Elles peuvent être extraites à la surface au moyen de pompes et de puits.

Pour les conférenciers, elles revêtent depuis toujours une importance capitale, mais cela n’est pas suffisamment reconnu. Elles fournissent la plus grande quantité d’eau utilisée pour la consommation, l’assainissement, dans les processus industriels et de production alimentaire. Les eaux souterraines fournissent près de la moitié de l’eau potable dans le monde, soit environ 40% de l’eau destinée à l’agriculture irriguée et environ un tiers de l’eau nécessaire à l’industrie, expliquent-ils.

Par ailleurs, compte tenu de leur importance selon eux, les eaux souterraines doivent être protégées de la surexploitation et de la pollution afin d’éviter leur épuisement et l’impossibilité de les utiliser. L’exploration, la protection et l’utilisation durable des eaux souterraines seront essentielles pour survivre, s’adapter au changement climatique et répondre aux besoins d’une population croissante, ajoutent-t-ils.

A noter aussi que le forum mondial de l’eau se tiendra à Dakar au Sénégal du 21 au 26 mars 2022 et qui aura comme thème : « La sécurité de l’eau pour la paix et le Développement ». Cette rencontre représente un enjeu pour le Mali, conclut Djoouro Bocoum.

Abdrahamane Baba Kouyaté

JOURNEE INTERNATIONALE DU SYSTEME D’INFORMATION GEOGRAPHIQUE (JISIG) : La 6ème édition présidée par le ministre Pr Amadou Keita

Le jeudi 3 mars 2022, la faculté d’Histoire et Géographie (FHG) de l’Université des Sciences Sociales et de Gestion de Bamako (USSGB) a célébré la 6è édition de la Journée Internationale du Système d’Information Géographique (JISIG). Le thème choisi pour la circonstance fut : « Système d’Information Géographique et défis multidimensionnels ». Ladite cérémonie qui a marqué la présence de plusieurs autorités universitaires et des étudiants, était placée sous la présidence du ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Pr Amadou Keita.

Après s’être réjoui de la tenue de la 6è édition de la JISIG sous le signe du développement durable, le ministre Pr Amadou Keita dira que dans le contexte qui est celui de notre pays particulièrement et du monde entier en général, l’on se convainc aisément de la portée de la thématique de cette édition de la Journée dédiée au Système d’information géographique.

A propos de la gestion de la crise multidimensionnelle qui a secoué le Mali durant une décennie, le ministre fera savoir que gérer la sécurité sans l’éducation, c’est prendre le risque de compromettre la paix, en cela qu’une jeunesse qui n’est pas éduquée est un facteur de risque pour la stabilité. ‘’Prendre des mesures pour la justice sans trancher la question de l’équité économique, où encore penser le développement des routes sans les infrastructures sociales de base, c’est créer un déséquilibre qui maintiendra la spirale de la crise’’, a-t-il fait savoir. Avant d’enchainer en disant qu’il importe d’avoir un regard transversal sur notre environnement immédiat et lointain. Et que cela fait partie des rôles des universitaires, spécifiquement des géographes.

S’adressant aux étudiants, il leur dira de tout faire pour dépasser leurs maitres, car, dit-il, un pays dans lequel l’élève ne dépasse pas le maitre, restera longtemps à la traine. Parlant de l’importance du Système d’Information Géographique, le ministre explique qu’il est question d’un puissant outil d’aide à la décision et à l’intervention, qui intervient dans l’aménagement des territoires, dans le transport, dans la sécurité des personnes et des biens et surtout dans le développement économique des collectivités.

 

Ccom MESRS