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Rencontre d’information et d’appropriation du cadre stratégique de la refondation de l’État à l’attention des journalistes et des acteurs des média, de ce samedi 1er octobre 2022 à la Maison de la Presse

La Rencontre d’information et d’appropriation du cadre stratégique de la refondation de l’État à l’attention des journalistes et des acteurs des média, de ce samedi 1er octobre 2022 à la Maison de la Presse a enregistré la participation de:
– Ibrahim Ikassa Maïga ,ministre de la Refondation de l’ Etat, chargé des relations avec les Institutions
– Fatoumata Sékou Dicko. Ministre délégué auprès du premier ministre, chargé des Réformes politique et Institutionnelles.
– Bandiougou Dante, président Maison de la presse du Mali.

ASSOCIATION DES JOURNALISTES SPORTIFS DU MALI : La confiance renouvelée en Oumar Baba Traoré pour consolider des acquis indéniables

Seul candidat à sa succession, notre confrère Oumar Baba Traoré a été réélu dimanche dernier (20 mars 2022) pour un mandat de 4 ans à la tête de l’Association des journalistes sportifs du Mali (AJSM). C’était à l’issue du 7e congrès ordinaire de l’association à Bougouni.

Cette réélection n’est pas une surprise puisque Oumar Baba Traoré fait aujourd’hui l’unanimité car crédité d’un bon bilan. On comprend alors pourquoi il était le seul candidat à sa propre succession. Une candidature motivée par sa «passion du journalisme, l’amour pour l’Association qui a beaucoup œuvré pour la promotion du sport et du journalisme sportif», a-t-il expliqué à nos confrères de «Aujourd’hui Mali» dans leur parution de vendredi dernier (18 mars 2022).

«J’ai eu de la chance car l’équipe qui m’accompagne m’a permis d’avoir un certain résultat… Nous avons entamé des chantiers qui doivent continuer. Donc, je me suis dit qu’avec un nouveau mandat, si jamais j’ai la confiance des délégués, je pourrai finir ces chantiers…», a-t-il précisé. A l’actif du président réélu, le fonctionnement et à l’animation permanente du siège de l’AJSM devenue aujourd’hui une belle vitrine dont la presse sportive nationale est fière. Avec son équipe, Oumar Baba a aussi beaucoup œuvré pour la formation des membres avec des sessions multipliées à Bamako et à l’intérieur du pays…

Sous sa conduite, l’AJSM a aussi initié une émission en partenariat avec le Groupe Renouveau et baptisée «90 minutes pour convaincre». Un plateau qui reçoit mensuellement les dirigeants sportifs. Il y a eu aussi l’institutionnalisation de la Coupe AJSM interservices. Le président a également inscrit le Bureau exécutif national dans une dynamique de délocalisation des activités-phares de l’Association à l’intérieur du pays. Et cela non seulement pour «faire honneur et reconnaître le travail abattu par les journalistes sportifs au niveau des coordinations régionales, mais aussi et surtout pour dire que l’association ne s’arrête pas qu’à Bamako», a-t-il confié à nos confrères de «Aujourd’hui Mali».

«Au-delà de ces activités, il y a eu la forte présence du Mali à l’extérieur. Ce qui m’amène à parler des caravanes de presse organisées par l’AJSM à, entre autres, à Dakar dans le cadre de l’Afro basket ; à Niamey dans le cadre de la Can juniors U20 ; à Bobo-Dioulasso (Burkina Faso) dans le cadre de la signature du partenariat AJSM-AJSB où 25 journalistes sportifs ont séjourné ; en Egypte dans le cadre de la CAN Egypte 2019 avec 15 journalistes et tout dernièrement au Cameroun dans le cadre de la CAN Cameroun 2021 où il y a eu 38 journalistes maliens des médias d’Etat et des médias privés. Pour la Can Cameroun 2021, l’Association, avec ses partenaires, a pu amasser 36 millions Fcfa pour mettre les journalistes dans de bonnes conditions de travail», a rappelé le président Traoré. «Au-delà, nous avons beaucoup œuvré dans la réconciliation et l’unification des journalistes sportifs car la crise du football avait affecté plusieurs segments du football dont la presse sportive», a-t-il indiqué.

Pendant les 4 prochaines années, l’ambition de Oumar Baba Traoré est «d’instaurer une presse sportive performante et professionnelle». Et cela avec l’implication de «l’ensemble des promoteurs d’organes, les directeurs de radios, les directeurs de journaux, les directeurs de télévisions… Chaque journaliste sportif est d’abord ambassadeur de son organe avant d’être militant de l’AJSM, donc assujetti à un bon comportement». A cheval sur les valeurs de la profession et du sport, il tend la main à tous les responsables d’organes, les responsables du football et des autres disciplines sportives pour travailler en synergie.

Dans l’entretien accordé à nos confrères, le président de l’AJSM a remercié le département des Sports et surtout le président Habib Sissoko du Comité national olympique et sportif du Mal (CNOSM) considéré à juste titre comme parrain de l’AJSM. «Habib Sissoko est le chef d’orchestre, le maître d’œuvre de la réunification et de la réconciliation de la presse sportive, il y a 4 ans. S’il n’avait pas posé cet acte, nous allions toujours continuer avec le bicéphalisme au niveau de la presse sportive», a rappelé Oumar Baba Traoré à qui le rédaction de «Le Matin» adresse ses félicitations et lui souhaite bon vent avec son équipe.

Moussa Bolly

TORTURE MORAL, ABUS DE CONFIANCE ET DE POUVOIR : Certains journalistes sénégalais et béninois haussent le ton contre le Nigérien SIDDO Oumarou

‘’Mois de mars, mois de la femme. Pendant que les femmes réclament leurs droits dans le monde entier, d’autres sont exploitées, torturés et voient leurs droits bafoués au Niger

Le monde entier doit être témoin de ce qui se passe à Niamey. Je vais vous présenter de manière exhaustive la situation déplorable qui est vécue par des expatriés sénégalais et béninois, agents de Africa Communication Network (ACN).

Ils étaient 9 expatriés (dont 8 sénégalais et 2 béninoises) qui ont tout quitté au Sénégal et au Bénin pour se rendre disponibles, pour un challenge qui au départ, semblait intéressant et prometteur.

Des contrats avec un package et des salaires bien précis avaient été négociés et validés. Ces contrats ont été remis en cause à 2 reprises.

Concernant les salaires, ils n’ont été payés que le 1er mois avec un léger retard, en Octobre.

Concernant la prise en charge du logement, l’électricité est prise en charge par ces expatriés et constitue un poste de dépenses exorbitant car l’électricité est trop cher au Niger.

Sans salaire, la vie quotidienne au Niger est catastrophique : impossible pour eux de supporter les charges au pays (Sénégal et Bénin), impossible de s’alimenter, de faire des courses, de se soigner et impossible de vivre normalement. La situation de survie s’installant par la force des choses.

Le ressenti général étant qu’on les a vendu une vaste supercherie et un manque de considération. De ce fait, 6 de ces expatriés ont démissionnés pour retourner au Sénégal et au Bénin, parce que n’ayant plus de ressources pour pouvoir survivre dans le territoire nigérien. Et ceux-là qui ont démissionnés n’ont reçu qu’un mois de salaire et un billet retour. L’une des béninoise elle, n’a même pas reçu de billet retour car l’employeur M. SIDDO Oumarou à refuser de payer son billet retour sous prétexte qu’il n’avait pas d’argent pour acheter le billet alors qu’il possède une agence de voyage qu’est La Croix du Sud.

Il est tout simplement inconcevable que cette situation perdure pour ce qui reste encore à Niamey. Ces expatriés réclament le paiement de leurs arriérés de salaire et un dédommagement complet car ils ont tout quitté au Sénégal et au Benin pour le Niger, ainsi qu’un billet retour pour aller tout recommencer à zéro.

L’employeur en question Monsieur SIDDO Oumarou et son adjoint Monsieur I. Y (un sénégalais et ancien agent de la TFM) ne donne aucun gage de changement de cette situation, adopte une attitude laxiste et détachée. Pire, ils les poussent tous à la sortie en obligeant de signer des papiers qui atteste qu’ils sont quitte avec l’agence de libre engagement avec un billet retour sans le payement de leurs droits.

Avec des menaces, d’autres ont pris la fuite pour rentrer au pays sans bruit, ni fracas. Parce qu’ils ont été intimidé, prise au piège… et tout cela par la complicité de leur compatriote sénégalais ex-agent de la TFM qui a préféré rendre la vie dure voire impossible à ces frères sénégalais à Niamey parce qu’il reçoit en douce de l’argent de la part de M. SIDDO Oumarou.

Fini le silence, que justice soit faite car ce M. SIDDO Oumarou qui prétend être le conseiller du Président de Mohamed Bazoum (alors que c’est faux) est prêt à tout pour ces intérêts, il a des méthodes assez peu orthodoxes pour des gens sérieux qui ne demandaient qu’à travailler. Il joue avec la vie d’honnête citoyens, il joue avec l’avenir de cette jeunesse sénégalaise, l’avenir de tout un peuple. Ça doit cesser, ceux-là, ne vivent que de la sueur de leurs fronts’’.

 

Le collectif des victimes de Siddo Oumarou