Lors de la conférence d’affaires de Longrich Stratégie qui s’est déroulé ce samedi 6 août 2022, à l’hôtel ONOMO, à Bamako , Dr Cyrielle Kenmoe NGHOKEM a présenté a répondu à la question de savoir, comment créer des sources de revenus complémentaire, avec le cas pratique des produits Longrich MALI .
Archives du mot-clé Comment
PARTIS POLITIQUES : Comment survivre au père fondateur ?
Aujourd’hui, l’Union pour démocratie et la République (URD) et le Rassemblement pour le Mali (RPM) sont au bord de l’implosion à cause des querelles de leadership suite au décès de leurs fondateurs. Et pourtant, il existe des textes clairs censés mettre ces partis à l’abri de telles querelles. Mais, toutes les tendances les interprètent en leur faveur afin de s’approprier le fauteuil vacant du père fondateur. Une réalité qui menace aujourd’hui de nombreuses chapelles politiques maliennes, surtout celles issues directement du mouvement démocratique.
On ne le dit pas souvent, mais le Mouvement pour l’indépendance, la renaissance et l’intégration africaine (MIRIA créé en 1994) a presque disparu de l’arène politique nationale depuis le décès de son père fondateur, Pr. Mamadou Lamine Traoré, le 21 juillet 2007 à Bamako. Cette éminence grise est l’une des toutes premières abeilles à quitter la «Ruche» de Bamako-coura parce que ne se retrouvant plus dans sa gestion.
Il a été suivi par la suite par feu Soumaïla Cissé et feu Ibrahim Boubacar Kéita dit IBK qui ont quitté l’Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice (ADEMA-PASJ) presque pour les mêmes raisons que le professeur de philosophie. Le premier a lancé sur les fonts baptismaux en juin 2003 l’Union pour la République (URD) avec des militants dissidents de l’Adéma. Il s’agit des cadres et des militants qui ont véritablement soutenu la candidature de Soumaïla Cissé à la présidentielle de 2002. Considérant avoir été lâché par une partie non négligeable de l’Adema-Pasj, le regretté «Soumi Champion» a créé sa propre chapelle avec sa troupe de fidèles.
La rupture entre la «Ruche» et feu IBK est aussi liée aux élections de 2002. Considéré par ses partisans comme le dauphin naturel du président Alpha Oumar Konaré, donc le candidat idéal pour sa succession, Ibrahim Boubacar Kéita a été combattu et poussé vers la sortie par le clan dit «CMDT» (Compagnie malienne le développement textile) avec les Mme Sy Kadiatou et son époux (Ousmane Sy), Ali Nouhoum Diallo… Soumaïla Cissé… Il crée le Rassemblement pour le Mali (RPM) en juin 2001. Et ils sont nombreux ceux qui pensent qu’il aurait remporté la présidentielle de 2022 s’il n’avait pas été injustement écarté du second tour qui a opposé les défunts ATT à Soumaïla Cissé. Cela aurait certainement changé la donne politique dans notre pays car nous sommes convaincus que le IBK de 2002 aurait eu plus de marge de manœuvre pour bâtir le pays que celui qui a été plébiscité en 2013 et dont le règne a été chaotique pour le pays.
L’URD et le RPM au bord de l’implosion
Ironie du sort, ce sont les amis et les héritiers de Soumaïla Cissé (arraché à l’affection des siens en le 25 décembre 2020) et d’Ibrahim Boubacar Kéita (qui a tiré sa révérence le 16 janvier 2022) qui sont aujourd’hui devant la justice à cause des querelles de leadership. Ce qui vient conforter ceux qui pensent que les partis politiques maliens ont du mal à survivre aux personnalités qui les ont créés.
Ce qui arrive aujourd’hui à l’Adema (toujours minée par des querelles de clans), surtout à l’URD et au RPM peut aussi empoisonner demain le CNID de Me Mountaga Tall, l’ADP-Maliba d’Aliou Boubacar Diallo, la SADI de Dr Oumar Mariko, ASMA-CFP de feu Soumeylou Boubèye Maïga et, dans une moindre mesure, le Parena de Tiébilé Dramé. Il faut rappeler que le Parena et la Sadi sont déjà issus de dissidences au sein du Congrès national d’initiative démocratique-Faso Yiriwa Ton (CNID-FYT).
L’un des facteurs de déstabilisation de nos partis politiques est sans doute lié au fait que les courants idéologiques (transformés en clans dans la réalité malienne) n’y sont pas tolérés. Cette existence est pourtant essentielle puisque permettant à tous de s’exprimer aisément sur la vie du parti, de critiquer les décisions et de faire des propositions pour réorienter le débat politique en son sein. Dans le Mali démocratique, on cherche par tous les moyens à étouffer ces courants considérés comme des rébellions et ainsi poussé à la dissidence. Et chaque fois qu’un clan échoue à prendre le contrôle d’une formation politique, il quitte pour fonder une nouvelle chapelle autour d’une personnalité charismatique aux yeux des dissidents.
Ce qui nous amène au second facteur qui fait que nos partis survivent mal ou ont des difficultés à garder leur vitalité après le père fondateur : le culte de la personnalité ! Il se traduit généralement par une admiration excessive, une adulation du leader par les cadres et les militants au détriment de l’idéologie qui doit sous-tendre l’existence de chaque parti politique. Ainsi, tout se ramène à la personnalité du leader. Il devient alors imprudent de critiquer ses décisions car émettre des avis contraires ou revendiquer un débat contradictoire peut suffire à faire de vous un ennemi lorgnant sur son siège présidentiel.
Malheureusement, ce culte est surtout entretenu par des laudateurs, qui en tirent les dividendes, que par le leader lui-même ou par le cercle de ceux qui ont adhéré au parti par convictions politiques. Et une fois que le leader vénéré s’efface, pour une raison ou une autre, le conflit de leadership devient inévitable entre les profiteurs et les militants convaincus. C’est à cela que nous assistons aujourd’hui au niveau du RPM et de l’URD.
Comment sortir de cette situation ? Nous pensons qu’il faut remettre l’idéologie au cœur de l’activité politique. Que le partage d’une idéologie soit plus fort que le culte voué à une personnalité. En la matière, difficile d’attribuer une idéologie précise à un parti politique malien. Même si certains se réclament de l’International socialiste (ADEMA, RPM) et d’autres des «Libéraux» d’Afrique. Cette appartenance ne se sent pas dans la vie quotidienne de ces formations, dans leur animation…
Remettre l’idéologie au cœur de l’activité politique est donc ce que nous privilégions. Mais, la réflexion est ouverte et chacun doit y apporter sa contribution parce que la stabilité des partis politiques peut-être non seulement un signe de vitalité démocratique, mais également un faveur de cohésion voire de stabilité du pays !
Moussa Bolly
DROITS HUMAINS : Comment l’Occident est parvenu à nous faire mépriser nos propres valeurs
«Lorsque des centaines de milliers de jeunes africains meurent dans la méditerranée, dans les guerres ou lors des famines… cela est un fait divers. Mais, quand un Occidental meurt quelque part dans le monde, c’est une tragédie. Autrement, la vie d’un Occidental vaut-elle mieux que celle d’un Africain» ? C’est le cri de guerre d’une jeune influenceuse sénégalaise pour sonner la révolte de sa génération afin de permettre au continent de reprendre son destin en main. Et pourtant cette question ne devait pas se poser si la Déclaration universelle des droits de l’Homme (DUDH) était équitablement appliquée puisqu’elle nous enseigne que «tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits».
La notion d’universalité est dans la pratique un leurre puisque cette déclaration est un condensé des principes occidentaux appliqués à l’humanité sous couvert d’une déclaration universelle. Et nos cultures, nos pratiques, nos valeurs, nos convictions, nos opinions… sont évaluées et classifiées en fonction de celle-ci brandie comme un miroir dans lequel chacun doit se reconnaître. Et si tel n’est pas le cas, on est vite taxé de «barbares», de «sauvages», de «dictateurs»…
S’agissant de l’Afrique, cette déclaration est dans la logique du lavage de cerveau amorcé avec la colonisation. Nous, les Africains, nous sommes des sauvages qui ne sont pas assez entrés dans l’histoire. Avant la colonisation, nous n’avions ni civilisation, ni valeurs, ni principes moraux… Et pourtant, la «Charte de Kurukan Fuga» (Charte du Manden ou Manden Kalikan) est plus ancienne que la Déclaration universelle des Droits de l’Homme (DUDH adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948 à Paris) qui est devenue un miroir dans lequel tous doivent se regarder pour mieux apprécier sa situation ; l’unique référence pour juger si un peuple est civilisé ou sauvage.
Ce texte législatif (Charte de Kurukan Fuga) a régi l’espace mandingue après la victoire de Soundiata Kéita et de ses alliés sur Soumaoro Kanté, en 1236. La Charte de Kurukan Fugan est un ensemble de principes, d’énoncés structurant les Mandékaw (populations du Mandé) en vue de fonder «une paix durable». Elle est d’ailleurs considérée comme l’une des plus anciennes références concernant les droits fondamentaux inhérents à la personne humaine. En effet, on y trouve les notions de respect de la vie humaine, de droit à la vie, les principes d’égalité et de non-discrimination, de liberté individuelle et collective, de justice, d’équité et de solidarité. Comme la DUDH, à travers son préambule et 17 articles, elle définit des droits ; elle reconnaît l’égalité devant la loi et la justice…
Aucun actif à l’échelle universelle des valeurs
Selon feu Djibril Tamsir Niane (né le 9 janvier 1932 à Conakry, en Guinée et mort le 8 mars 2021 à Dakar, au Sénégal), cette Charte est «un document inestimable qui exprime avec force, la volonté de statuer sur le devenir de la société avec le souci très souligné de fonder des règles de vie commune et surtout d’établir entre les membres d’une même famille, entre les clans, entente et convivialité»… Il se réfère à des manières d’être, d’agir et de penser que des personnes ou des groupes sociaux reconnaissent comme idéales. Les puissances impériales ont pourtant agi de sorte à nous faire croire que, à l’échelle des valeurs, nous n’avons absolument rien à notre actif.
«L’idéologie civilisatrice du 19e siècle, par ses constructions de pensée négatives sur l’Afrique et par l’échelle des valeurs qu’elle a établie entre les sociétés humaines, a abouti à l’infériorisation du Noir et à son rejet au faubourg de l’histoire», a déploré Magloire Somé dans «Les cultures africaines à l’épreuve de la colonisation». Et de rappeler, «l’Afrique était présentée comme un monde de mystères, d’hostilité et de peur avec des traits culturels choquants comme les coutumes sanglantes et le sacrifice humain. L’idéologie civilisatrice a même nié l’existence de cultures en Afrique et a établi une hiérarchie des valeurs dans laquelle celles de l’Afrique occupent le bas de l’échelle».
Au sortir de la seconde guerre mondiale, ces «considérations négatives» ont conduit à une réaction des élites africaines décidées à réhabiliter les cultures et la personnalité négro-africaines. Mais, a-t-il souligné, les Africains sont entrés dans un processus de mondialisation de l’histoire où ils jouent un rôle passif dans les échanges économiques et culturels. «Les canons des institutions européennes s’imposent comme un système universel en dehors duquel il devient impossible d’évoluer», a expliqué M. Somé.
Dominé parce que privé de son identité culturelle
Déraciné, l’Africain s’est figé dans un dualisme culturel handicapant. «Le mythe de l’Occident, de sa puissance technologique et de son modèle économique, véhiculé sciemment par l’école, a relégué au second plan les valeurs authentiques définissant l’originalité des cultures locales. Il s’agit alors pour l’Afrique de se retrouver», a souligné Augusta Conchiglia dans sa critique de «L’impact de la culture occidentale sur les cultures africaines» d’Essé Amouzou (L’Harmattan, Paris, 2008, 190 pages). D’où la nécessité pour l’Afrique de se retrouver afin de s’extraire de cette situation handicapante.
Sinon nous savons que la meilleure façon de dominer un homme, un peuple, c’est de lui prendre son identité culturelle, ses valeurs sociétales. Réduit â l’état de chauve-souris, donc sans repère ni référence, il devient vulnérable à toutes manipulations possibles. L’Occident nous a imposé ses normes et ses tares sous diverses formes brandies par nous-mêmes comme des revendications : droits de l’homme, droits humains, égalité homme-femme, émancipation de la femme, équité genre comme normes de développement…
Et aujourd’hui, il veut même imposer homosexualité dans nos manuels didactiques. La naïveté, c’est de croire que cela est promu dans notre intérêt, pour notre bonheur. Mais en réalité, ce sont des instruments entre les mains des ONG financées pas de puissants lobbies ayant la main mise sur nos ressources et nos richesses. C’est un moyen de pression dont-ils disposent pour toujours pousser nos dirigeants dans le sens de leurs intérêts. Sinon ce n’est pas pour le développement de nos pays ni pour le bonheur de la Femme ou de l’Enfant africains. C’est juste une stratégie pour désarmer nos pays par la pression politique et diplomatique voire économique, pour nous maintenir sous leur joug.
Loin de nous une volonté de cautionner une quelconque atteinte à l’honneur et à la dignité d’une personne humaine ou de nier la sacralité de la vie humaine d’ailleurs reconnue par nos us et coutumes ainsi que par nos religions. Mais le bon sens doit nous conduire à nous poser des questions. Pour quel intérêt les Occidentaux se préoccupent-ils plus de notre sort et de notre bien-être alors qu’ils utilisent toutes les stratégies pour nous appauvrir économiquement et culturellement, donc nous maintenir dans une humiliante précarité ? Manger à sa faim, vivre dans la décence et la dignité… ne sont-ils pas des droits humains ? Et pourtant, ce sont ces mêmes occidentaux qui nous appauvrissent.
A nous de comprendre que nous devons faire le deuil de nos ambitions de développement et d’émancipation si nous restons résignés sous le joug impérialiste. Il est donc temps de comprendre qu’un autre destin est possible pour notre continent si nous nous «réveillons à temps pour mener notre révolution». Tout comme il est aussi nécessaire qu’il y a un prix à payer pour tous les choix que nous puissions faire. «Il n’y pas de révolution sans prise de conscience, sans détermination et sans sacrifice… Les combats se gagnent ou se perdent, mais encore faudrait-il qu’ils soient menés», a récemment martelé l’influenceuse sénégalaise Khadija M. Diouf dans son appel à la révolution, une vidéo virale.
Un appel à exécuter comme la dernière volonté du regretté Patrice Lumumba qui, dans sa «Dernière lettre à sa femme» n’a pas caché sa conviction que «l’Afrique écrira sa propre histoire et elle sera, au nord et au sud du Sahara, une histoire de gloire et de dignité». Pour ce faire, nous devons refuser de nous regarder et de nous juger à travers le miroir imposé par ceux qui ont tout intérêt à continuer à puiser dans nos pays les richesses nourrissant leur puissance.
Moussa Bolly
Star Wars Eclipse : le jeu de Quantic Dream offre déjà un bonus aux joueurs ! Comment l’obtenir ?
Annoncé aux Game Awards 2021, Quantic Dream a surpris les internautes avec l’annonce d’un nouveau jeu issu de la licence Star Wars. En attendant d’en savoir plus sur le jeu, le développeur offre un petit cadeau aux fans les plus curieux.
Une collaboration inattendue
Annoncé aux Game Awards 2021, Star Wars Eclipse se révèle à travers une cinématique époustouflante. Le jeu prend place pendant l’ère de La Haute République, dans une région inexplorée de la Bordure Extérieure. Cette période, considérée comme l’âge d’or des Jedi, est illustrée par les différents peuples, environnements, et sabres lasers présentés dans le trailer. Comme le nom du jeu l’indique, le point focal de cette vidéo d’introduction semble être une éclipse qui progresse au fur et à mesure que le jeu se dévoile. Les images promettent beaucoup, tout comme l’étonnante collaboration qui se cache derrière elles.
Les fans de l’univers de Star Wars ont l’habitude des jeux édités par Electronic Arts, mais cette fois-ci, c’est bien Quantic Dream qui prend les rennes du prochain jeu de la franchise aux côtés de Lucas Film Games. Le développeur français est connu pour ses jeux axés sur la narration, remplis de Quick Time Events (QTE) et de fins multiples. Il est donc naturel de se demander à quoi va ressembler le prochain jeu ancré dans l’univers de Star Wars : s’agira-t-il d’un jeu d’action pur avec des combats rythmés ou bien d’une expérience narrative à laquelle Quantic Dream nous a habitués ? Ce n’est là qu’une question parmi tant d’autres pour les fans de Star Wars, et le développeur a prévu de récompenser les plus curieux.
Un cadeau exclusif pour les fans
La fin du trailer invite les internautes à se rendre sur le site officiel de Star Wars Eclipse, sur lequel vous pourrez retrouver cette même bande annonce mais également des images et informations supplémentaires sur le jeu. En lisant, on apprend que l’on aura accès à plusieurs personnages jouables capables d’influencer l’histoire par le biais de leurs actions. Comme on pouvait s’y attendre avec un jeu signé Quantic Dream, nous aurons donc des choix à faire.
En plus de cela, le site offre un kit de goodies digitaux issus de Star Wars Eclipse, avec un fond d’écran exclusif pour les fans les plus avides de savoir. Pour le récupérer, rien de plus simple : il suffit de s’inscrire à la newsletter du site, ce que vous pouvez faire en scrollant jusqu’en bas de la page et en entrant les informations requises dans les champs appropriés. A noter que la date est au format américain, donc mois/jour/année.
Et vous, êtes-vous intéressés par cette collaboration entre Quantic Dream et Lucas Film Games ? Qu’attendez-vous de ce nouveau jeu Star Wars ? Dites-nous tout dans les commentaires !
Comment se faire de l’argent dans Red Dead Online ? Le guide
Red Dead Redemption 2 Online est un monde sans pitié, où chaque cow-boy n’a qu’un seul objectif : se remplir les poches. Or, ce n’est pas toujours une mince affaire, c’est pourquoi nous vous avons préparé un petit guide afin de vous guider sur la voie de la richesse.
Le Far West vous ouvre les bras, vous promettant fortune et postérité. Seulement, se remplir les poches au début du vingtième siècle peut parfois être compliqué et ce n’est pas en jouant à Red Dead Redemption Online que vous allez nous prouver le contraire. Le jeu à service de Rockstar se caractérise par une économie aussi réaliste que cruelle. Inutile d’espérer amasser des millions de dollars comme vous le pourriez dans GTA Online, il vous faudra être patient avant de vous constituer une petite fortune. Cependant, il existe quelques petites combines qui peuvent vous permettre de vous remplir les poches un peu plus vite que les autres Desperados.
1 – Complétez les missions principales
Un conseil qui peut sembler anodin pour tout joueur de RPG mais qui n’est pas forcément inutile dans Red Dead Redemption Online. En effet, une fois votre personnage créé et la première mission d’introduction complétée, vous aurez la possibilité de vous confronter à des missions scénarisées qui constituent l’arc narratif principal du mode multijoueur. Ces missions, symbolisées par des pastilles jaunes avec des initiales, sont extrêmement lucratives, en plus d’être particulièrement divertissantes. D’ailleurs, elles vous proposeront des choix moraux qui impacteront leur issue et votre récompense par la même occasion. Attention, souvent vertu et richesse ne sont pas synonymes. Terminer les missions principales vous fournira un pécule conséquent qui vous permettra d’acheter les objets dont vous aurez besoin.
2 – Achetez uniquement l’essentiel
Une chose que l’on peut affirmer sur Red Dead Redemption 2, c’est que le jeu possède un catalogue d’objets extrêmement fourni. Seulement, seuls très peu d’entre eux sont utiles en début de partie. A part le foin que vous pouvez acheter à l’écurie pour 0.25 cents pour nourrir votre cheval, inutile de vous fournir en nourriture, balles et tonifiants. Tous ces objets peuvent être trouvés dans la nature, en fouillant les maisons et particulièrement celles les plus éloignées des sentiers battus. Vous pouvez chasser pour vous nourrir, et éventuellement acheter des balles pour vos missions scénarisées et pour chasser. Par ailleurs, parcourir le monde et en fouiller les tiroirs peut vous permettre de récupérer des objets à collectionner ou de rencontrer de nouveaux personnages. Seulement, il y a quelques achats que vous ne pourrez éviter, comme celui d’un bon cheval, d’un arc et d’un fusil à verrou.
3 – Chassez et pêchez
C’est une méthode vieille comme le monde, mais elle fait toujours ses preuves. Si vous vous rendez d’un point A à un point B, n’hésitez pas à charger votre cheval en peaux et en gibier au maximum. Privilégiez toujours les animaux trois étoiles, et gardez le corps entier de l’un de ces derniers pour maximiser vos profits. Vous pouvez vendre vos prises à un boucher ou à l’un des nombreux étalages de Gus, le trappeur. Privilégiez l’arc et le fusil à verrou (disponible niveau 7) pour tuer vos proies.
4 – Investissez dans le bon métier
Il y a deux types de monnaie dans Red Dead Redemption Online, les dollars et les lingots d’or. Ces derniers vous serviront à acheter des licences pour exercer un métier particulier. Vous pouvez ainsi choisir une ou plusieurs professions, parmi lesquelles on trouve chasseur de prime, collectionneur, distillateur clandestin et naturaliste. Or les lingots sont particulièrement fastidieux à obtenir, et marchand est de loin le métier le plus rentable. Nous ne pouvons que vous conseiller d’investir vos lingots en priorité dans la licence de marchand. Remplissez ensuite votre camp de matériaux auprès de Cripps, et effectuez des livraisons pour remplir assez vite vos coffres en espèces sonnantes et trébuchantes. Petite astuce, si vous le pouvez, remplissez vos matériaux en groupe, le procédé est bien plus rapide. Les licences de collectionneur et de chasseur de prime sont aussi assez rentables.
5 – Complétez vos défis journaliers
C’est de très loin la meilleure façon de vous faire des lingots d’or. Or comme vous l’avez vu ci-dessus, les lingots d’or sont essentiels pour faire fructifier votre temps. Les défis journaliers sont un ensemble de quêtes relativement simples qui, une fois complétées, vous offrent une petite quantité d’or. De plus, enchaîner les défis journaliers vous permet d’obtenir un multiplicateur pour augmenter la quantité d’or gagnée.
Comment partager des photos et des vidéos sur Google Drive
Étant l’application de stockage cloud par défaut sur Android, Google Drive est le service cloud le plus populaire parmi les consommateurs. Même si de nombreuses fonctionnalités de partage de Google Drive sont présentes dans l’application Google Photos, certains préfèrent toujours Google Drive pour envoyer des photos et des vidéos. Voici comment partager des photos et des vidéos à l’aide des applications de bureau et mobiles Google Drive.
Sommaire
Applications mobiles Google Drive
Télécharger des photos et des vidéos sur Google Drive
Partager le dossier Google Drive
Google Drive Web
Profitez d’un partage multimédia fluide avec Google Drive
Tout est question de confort et d’adaptabilité. Grâce à sa popularité et à sa large adoption, vous êtes plus susceptible d’en trouver d’autres avec un identifiant Gmail/Google valide. Cela rend le partage sur Google Drive plus transparent que jamais.
Applications mobiles Google Drive
Tout d’abord, nous expliquerons comment partager des photos et des vidéos sur Google Drive à l’aide d’applications mobiles. Étant donné qu’Android et iOS disposent d’une interface utilisateur Google Drive identique, vous pouvez utiliser les étapes sur n’importe quelle plate-forme pour faire avancer les choses.
Télécharger des photos et des vidéos sur Google Drive
Avant de commencer à partager des fichiers, vous devez d’abord télécharger des photos et des vidéos dans le dossier approprié dans l’application Google Drive.
Dans l’exemple ci-dessous, nous utilisons l’application Google Drive iOS.
Étape 1: Ouvrez l’application Google Drive sur l’iPhone.
Étape 2: Appuyez sur l’icône + en bas et sélectionnez Dossier.
Étape 3: Donnez-lui un nom pertinent et appuyez sur le bouton Créer.
Étape 4: En ce qui concerne la personnalisation, vous pouvez appuyer sur le menu à trois points à côté du nom du dossier et changer la couleur du dossier du gris par défaut à n’importe quelle couleur (24 options de couleurs au choix).
Étape 5 : Ouvrez le dossier nouvellement créé et appuyez sur l’icône +, puis sélectionnez Télécharger.
Étape 6 : Sélectionnez Photos et vidéos, donnez l’autorisation appropriée pour accéder à tous les fichiers multimédias sur le téléphone et ouvrez le menu de la bibliothèque de photos.
Étape 7 : Sélectionnez les photos et la vidéo que vous souhaitez partager et appuyez sur le bouton Télécharger en haut.
Étape 8 : En fonction de votre vitesse Internet, Google Drive téléchargera les médias au format d’origine sans aucune compression.
Vous pouvez également ouvrir directement l’application Photos sur iPhone ou Android. Sélectionnez les photos et vidéos que vous souhaitez envoyer et utilisez le menu de partage pour les télécharger dans le dossier de destination Google Drive.
Une fois les fichiers multimédias téléchargés dans le dossier Google Drive, ils sont prêts à être partagés entre amis et membres de la famille.
Partager le dossier Google Drive
Il existe deux façons de partager le dossier Google Drive. Vous pouvez soit générer un lien partageable, soit ajouter directement des membres. Voici comment partager le dossier Google Drive.
Étape 1: Ouvrez l’application Google Drive et accédez au dossier.
Étape 2: Appuyez sur le menu à trois points et sélectionnez Partager.
Appuyez sur le menu à trois points
Partager un dossier de lecteur
Étape 3: Ajoutez l’ID de compte Google d’autres utilisateurs pour rejoindre le dossier et commencer à apporter des modifications. Ou vous pouvez sélectionner le lien Copier et partager directement le lien d’invitation du dossier via n’importe quel canal de médias sociaux.
Copier le lien dans le dossier
Partager le dossier Google Drive
À tout moment, vous pouvez accéder à l’option « Gérer les personnes et les liens » et en supprimer des personnes ou modifier les paramètres du lien de « Limité à toute personne disposant du lien ».
Avec l’option Restreint, seules les personnes ajoutées peuvent accéder et voir les fichiers multimédias dans le dossier. L’option « Tout le monde avec le lien » ouvre trois autres autorisations.
Gérer les personnes et les liens
Modifier l’autorisation de partage de dossier
Téléspectateur: Les autres avec le lien ne peuvent voir que le contenu du dossier.
Commentateur : Ceux qui ont le lien Drive peuvent laisser un commentaire sur leurs commentaires.
Éditeur: Cela donne à toute personne disposant du lien la liberté totale d’apporter des modifications au contenu. Ils peuvent télécharger, modifier et même supprimer des photos et des vidéos du dossier. Soyez prudent lorsque vous utilisez l’autorisation Éditeur.
Autorisation de partage de dossier
Tout dépend de votre cas d’utilisation. Si vous envisagez de partager des photos et des vidéos à l’aide de Google Drive sur le Web pour une large communauté, alors Toute personne ayant le lien option sera appropriée pour vous.
Ceux qui souhaitent partager des photos et des vidéos avec un groupe spécifique de personnes doivent s’en tenir aux Limité option.
Google Drive Web
Vous pouvez également partager des photos et des vidéos à l’aide du Web Google Drive. C’est pratique pour ceux qui ont des photos et des vidéos enregistrées sur leur PC.
Étape 1: Accédez à Google Drive sur le Web et connectez-vous à l’aide des informations d’identification du compte Google.
Étape 2: Cliquez sur le bouton Nouveau sur le côté gauche et créez un nouveau dossier que vous souhaitez partager.
Cliquez sur le nouveau bouton
Étape 3: Donnez-lui un nom pertinent, changez la couleur du dossier et vous êtes prêt à y télécharger des photos et des vidéos.
Créer un dossier sur le Web
Étape 4: Accédez aux fichiers multimédias stockés sur l’ordinateur. Sélectionnez ces photos et faites-les glisser vers le dossier Google Drive sur le Web.
Étape 5 : Une fois qu’ils sont téléchargés dans le dossier, vous pouvez revenir à l’accueil de Google Drive.
Étape 6 : Sélectionnez le dossier que vous souhaitez partager et cliquez sur le lien Générer ou sur le bouton Partager en haut.
Partager le dossier Google Drive sur le Web
Les options de partage sont similaires à celles dont nous avons discuté pour l’application mobile Google Drive.
Profitez d’un partage multimédia fluide avec Google Drive
Nous savons comment Google Photos bat Google Drive avec le partage de partenaires et une meilleure intégration sociale comme les J’aime et les Commentaires. Mais ce dernier a aussi des avantages. Avec Google Drive, vous avez plus de contrôle sur la façon dont vous souhaitez partager des photos et des vidéos avec d’autres.
Quant à l’avenir, nous aimerions voir des liens d’expiration et des liens de protection par mot de passe dans Google Drive pour une meilleure sécurité et confidentialité.
Visionner la méthode sur : Comment partager des photos et des vidéos sur Google Drive – Moyens I/O
Comment faire des photos de produits sans studio et avec un minimum de matériel ?
Réaliser des photographies de qualité chez soi et avec un minimum de matériel reste accessible pour un grand nombre de photographes. Découvrez comment bien utiliser la lumière naturelle pour mettre en valeur les objets photographiés.
Nous allons aborder les grandes lignes à suivre pour bien débuter dans la photographie de produits, de nature morte ou d’objets en intérieur et avec une lumière naturelle, afin d’éviter l’utilisation d’un matériel onéreux ou trop expert.
En résumé : comment réaliser des images de qualité facilement depuis chez soi.
Nous nous concentrerons sur les photos dites lifestyle, puisque d’autres disciplines telles que la photo culinaire ou la photo de produits sur fond unis mériteraient un article dédié. Cela étant dit, beaucoup de nos conseils restent valables dans plupart des disciplines, tous comme ils restent valables pour des photos au smartphone.
Quel appareil photo choisir ?
Dans le cas d’un tirage papier — ou d’un fort recadrage —, il faut prendre en compte le nombre de pixels de l’appareil.
Pour une diffusion web uniquement, la définition du capteur est rarement une limite. Pour ne citer que quelques exemples, un appareil tel que l’OM-D E-M10 Mark IV d’Olympus, le Lumix GX80 de Panasonic ou le Z50 de Nikon propose des qualités plus que suffisantes. C’est d’ailleurs le cas de l’ensemble des références présentes dans notre guide d’achat du meilleur hybride.
Organisation d’un festival : Comment faire ?
Organisé dans un but caritatif ou tout simplement pour faire connaitre son association loi 1901, le festival est un événement qui se veut convivial et festif, mais aussi informatif. Néanmoins, organiser un festival n’est pas une tâche aisée. En effet, il faut suivre plusieurs étapes essentielles pour son organisation : choix du lieu, communication, billetterie, définition du budget, recherche de financement… En plus, il convient de respecter un certain nombre d’obligations légales comme la souscription à une assurance ou encore l’accomplissement d’une formalité déclarative auprès de l’autorité compétente. À cela s’ajoute la gestion des membres et des bénévoles de l’organisme associatif avant et pendant la manifestation. Aussi, pour garantir la réussite de votre festival, prenez en compte ces quelques points lors de vos préparatifs.
- Les différentes étapes à respecter pour l’organisation d’un festival
- Définir le thème du festival…
- … et son cadre
- Choisir et prendre contact avec les intervenants
- Établir la programmation
- Déterminer le budget d’organisation du festival
- Organiser un festival : les obligations légales à observer
- Effectuer une déclaration ou une demande d’autorisation
- Demander des autorisations supplémentaires
- Veiller à la sécurité du festival
- Contracter une assurance
- Communication autour de l’évènement : comment procéder ?
- Comment gérer la billetterie ?
Les différentes étapes à respecter pour l’organisation d’un festival
Comme pour n’importe quel évènement associatif (concert, spectacle, tournoi sportif, …), l’organisation d’un festival doit également passer par plusieurs étapes importantes. Découvrez lesquelles.
Définir le thème du festival…
Avant d’organiser un festival, il est primordial de déterminer la thématique sur laquelle cet événement associatif va se baser. Cela vous permettra d’ailleurs de rallier d’autres personnes et éventuellement d’autres associations et institutions à votre projet. Il va sans dire que le thème dépend avant tout de vos attentes et des objectifs de la manifestation. La durée ainsi que le ou les domaine(s) qu’il va couvrir peuvent également vous aider dans la définition du thème. Festival de musique, de danse, de cinéma, de théâtre…, les idées ne manquent pas. Le thème peut en outre permettre de définir le nom de festival.
À noter que le nom de cette manifestation culturelle peut parfaitement bien faire l’objet d’une protection via un dépôt de marque auprès de l’INPI.
… et son cadre
Quant au cadre dans lequel se tiendra le festival, il ne convient pas de le choisir au hasard. Il doit effectivement répondre aux installations que nécessite la manifestation. De même, la capacité du lieu doit être proportionnelle au nombre de festivaliers attendus. Et ce, qu’il s’agisse d’une salle ou d’un espace extérieur. En tout cas, selon le lieu choisi, la réalisation de certaines démarches administratives peut être obligatoire. Il en est ainsi notamment dans les domaines publics et sur la voie publique.
Choisir et prendre contact avec les intervenants
Pour le choix des intervenants (artistes, spécialistes, etc.), vous n’avez qu’à vous baser sur thème pour lequel vous avez opté en amont. Dès lors, si vous envisagez d’embaucher des artistes rémunérés, il est fortement conseillé de miser sur des intervenants renommés. Sinon, faire appel à des artistes amateurs peut être une alternative intéressante, surtout pour les petits budgets. D’autant plus que c’est une pratique plutôt courante dans le cadre des festivals étudiants.
Attention ! Si vous avez pris contact avec des artistes rémunérés, il ne faut en aucune façon oublier de conclure un contrat d’engagement avec eux.
Établir la programmation
La programmation représente à coup sûr le fil conducteur qui assurera le bon déroulement du festival. Un programme bien ficelé ne manquera pas d’ailleurs de contribuer au succès de cet évènement. Bien évidemment, il doit prendre en considération les contraintes techniques et les cachets des artistes (si rémunérés). Mais également les décisions prises initialement avec les intervenants lors de la signature du contrat.
Déterminer le budget d’organisation du festival
Peu importe l’ampleur et la fréquentation attendue pour le festival, la structure associative porteuse du projet doit prêter une attention particulière à la définition du budget d’organisation de l’évènement. De fait, un budget prévisionnel vous donne la possibilité d’avoir un aperçu des dépenses (location de salle ou de terrain, logistique, rémunération des intervenants…) et recettes (location de stand, billetterie, vente d’espaces publicitaires…). En l’examinant, vous pourrez savoir si votre projet peut se concrétiser. Si oui, avez-vous besoin de faire appel à des partenaires financiers ? Dans ce cas, la mise en place d’un dossier de présentation à destination de vos futurs financeurs est de mise. Sponsoring, mécénat, subventions des collectivités locales, direction régionale des affaires culturelles (DRAC), institutions publiques…, diverses sources de financement sont en plus à votre disposition.
Organiser un festival : les obligations légales à observer
L’organisation d’un festival est soumise à certaines obligations légales, dont l’accomplissement d’une formalité déclarative ou d’une demande d’autorisation auprès de la mairie ou de la préfecture. À cela s’ajoutent d’autres démarches administratives spécifiques (mise en place d’une buvette, diffusion de musique…), les obligations en matière de sécurité et l’assurance. Tout de suite les détails.
Effectuer une déclaration ou une demande d’autorisation
Si vous organisez votre festival dans un espace public, une autorisation administrative est nécessaire. L’association doit dès lors en faire la demande auprès du maire ou du préfet de police (pour les organismes domiciliés à Paris, Lyon et Marseille). Cette demande doit indiquer entre autres :
- L’identité de l’organisateur
- La date et les horaires de début et de fin du festival
- Le lieu de déroulement de la manifestation
- Les sonorisations prévues
Il en va de même si votre évènement rassemble plus de 1 500 personnes. Vous devez transmettre une demande d’autorisation à l’autorité compétente au moins un mois (et 1 an au plus) avant le festival. Par contre, une simple déclaration suffit si le festival se tient dans un lieu privé habilité en tant qu’établissement recevant du public (ERP) et sur la voie publique.
Demander des autorisations supplémentaires
Suivant les circonstances, d’autres autorisations sont requises. Ainsi, pour l’installation d’une buvette ou d’un bar, vous avez besoin d’une licence de débit de boisson. Pour l’obtenir, il faut faire votre demande en mairie au moins 15 jours avant le festival. De plus, vous devez respecter la règlementation applicable aux débits de boissons en matière d’affichage, d’étalage, d’hygiène et de sécurité. Le respect des règles d’hygiène alimentaire est aussi à ne pas négliger.
D’autre part, si une diffusion ou une interprétation des œuvres musicales est prévue lors de l’évènement, il convient d’obtenir l’autorisation de la SACEM. Sans oublier le paiement des droits de diffusion y afférents. Cela s’applique également en cas d’utilisation en public d’œuvres figurant dans le répertoire de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD).
En outre, si vous envisagez de mettre en place un chapiteau sur les lieux, une déclaration préalable est à effectuer. Elle doit dès lors préciser le lieu, la date et les horaires de déroulement du festival. Mais aussi la capacité d’accueil et les caractéristiques techniques du chapiteau.
Veiller à la sécurité du festival
Bien entendu, l’association doit assurer la sécurité du festival et prendre toutes les mesures indispensables pour limiter les risques d’accident. Vous devez donc tout mettre en œuvre pour respecter et faire respecter les règles de sécurité en vigueur. Cela non seulement par les festivaliers, mais également par les membres du staff (adhérents et bénévoles au sein de l’organisme associatif, prestataires, artistes, etc.). Lorsque la situation l’exige (festival réunissant plus de 1 500 personnes par exemple), la formation d’un service d’ordre peut même être obligatoire.
En outre, il est impératif de vérifier la conformité des installations et des équipements utilisés. Et ce, afin d’éviter le plus possible des accidents (électrocution, incendie…). Les autorités peuvent par ailleurs demander l’intervention d’une équipe de secours. Antenne locale de la Croix-Rouge, secouristes, pompiers, volontaires…, le choix vous appartient pour la composition de ce dispositif de secours.
Contracter une assurance
En tant que principal responsable et organisateur du festival, l’association loi 1901 se doit de souscrire une assurance qui couvre sa responsabilité civile. Toutefois, il ne faut pas uniquement tenir compte de la dimension humaine. Il importe aussi de considérer la dimension matérielle de l’évènement. Autrement dit, vous devez ajouter des garanties qui pourront couvrir les matériels utilisés et le lieu de déroulement de la manifestation. Assurance annulation, grève, intempéries…, certaines garanties peuvent bien sûr être ajoutées selon vos besoins.
Communication autour de l’évènement : comment procéder ?
La communication constitue assurément un point crucial à ne surtout pas prendre à la légère pour la réussite de son festival. La structure associative se doit dès lors de promouvoir efficacement son évènement et de le faire gagner au maximum en visibilité. Pour cela, elle a différentes options qui se complètent :
- Les supports de communication classiques : la presse, les affiches, flyers, plaquettes, banderoles, prospectus, etc.
- Les canaux de communication en ligne : les réseaux sociaux (Facebook, Twitter…), le site internet de l’association, les newsletters, campagnes emailing…
Dans tous les cas, il convient de faire attention au contenu de son annonce. En effet, il est essentiel d’y indiquer les informations utiles. À savoir :
- Le nom du festival et celui de l’association organisatrice
- L’adresse et les coordonnées de l’organisme porteur (numéro de téléphone et mail) ainsi que son logo
- Le lieu, la date et les horaires de début et de fin de la manifestation
- Le prix d’entrée
- La présentation et le programme du festival
- La liste des intervenants (artistes…)
- Les partenaires de l’association
Comment gérer la billetterie ?
En ce qui concerne la vente et la prévente des billets, il est fortement recommandé de combiner les deux dispositifs suivants :
- La billetterie en ligne en amont
- La billetterie manuelle sur place
Ces deux canaux de distribution vous donneront effectivement la possibilité d’éviter les files d’attente et de gagner énormément de temps. En particulier quand il s’agit d’un événement de grande ampleur avec plus de 1 500 personnes à accueillir. Pour un événement avec moins de public, cela vous évitera tout simplement la fastidieuse étape du surlignage des entrants avant le coup d’envoi, mais aussi et surtout de vous constituer une listes de contact intéressée par votre association, qui pourront devenir de futurs soutiens ou donateurs !
Dès lors, grâce à la billetterie en ligne, vous pourrez suivre en temps réel la vente de vos places. Intégré dans un mini-site web ou sur le site internet de l’organisme associatif, le lien vers ce guichet dématérialisé peut également être inséré dans l’annonce sur les réseaux sociaux, blogs… Cela vous permettra aussi de disposer d’un page internet sur laquelle décrire votre événement, y insérer les détails pratiques, les différents tarifs etc…
Pour bien choisir votre billetterie en ligne, pensez à vérifier les frais d’utilisation ou les commissions bancaires, s’il existe une application de scan des billets pour l’entrée de l’événement et les différentes options.
Pour les retardataires, par contre, la billetterie manuelle disponible sur place leur sera d’une aide précieuse pour pouvoir prendre part au festival.
Comment héberger des vidéos sur votre site web et les faire classer par Google
Les éditeurs qui produisent du contenu vidéo sont probablement plus familiers avec l’utilisation d’une plateforme d’hébergement vidéo tierce comme YouTube, Vimeo ou Wistia. Ces plateformes offrent une facilité d’utilisation et la possibilité d’intégrer des vidéos dans leur contenu écrit. Mais il y a un inconvénient à utiliser ces plates-formes : vous renoncez à un certain degré de contrôle sur votre contenu vidéo. Aujourd’hui, je vais donc vous montrer comment héberger des vidéos sur votre site web et les faire classer par Google.
Sommaire
- Comment héberger des vidéos sur votre site web ?
- Quelles sont les options d’hébergement vidéo les plus faciles à utiliser ?
- Pourquoi héberger une vidéo sur votre site web plutôt que sur une plateforme comme YouTube ?
- Quelle est la différence entre l’intégration et l’hébergement de la vidéo ?
- Google indexera-t-il les vidéos auto-hébergées d’un site web dans les résultats de recherche ?
- Souvenez-vous : la chose la plus importante est de s’assurer que vous avez un bon référencement associé à vos vidéos auto-hébergées. Si vous vous contentez de lancer un fichier sur votre site web et de l’intégrer, Google ne dispose d’aucune autre information sur cette vidéo. C’est pourquoi vous devez vous assurer qu’il y a des titres, des méta descriptions, etc. associés à vos vidéos.
- Où peut-on héberger soi-même une vidéo gratuitement ?
- Récapitulatif sur l’auto-hébergement de vidéos et sur la façon d’assurer que Google les classe
Comment héberger des vidéos sur votre site web ?
La première étape pour héberger des vidéos sur votre site web est d’avoir un accès complet à votre site web et de savoir comment fonctionne votre site web. Cela signifie que vous devez pouvoir accéder à l’arrière-plan de votre site web et connaître les spécifications de votre système de gestion de contenu, si vous en utilisez un. Si vous utilisez WordPress, vous pouvez télécharger des vidéos directement dans votre galerie de médias. Mais attention, il y a généralement une taille maximale de fichier. La plupart des vidéos en 1080p, même celles qui ne durent que quelques minutes, dépasseront la limite de téléchargement.
Conseil : Parfois, vous pouvez faire supprimer cette limite de téléchargement simplement en envoyant un courriel à votre fournisseur d’hébergement et en lui demandant de la supprimer. Mais si vous prévoyez d’héberger vous-même de nombreuses vidéos sur votre propre site, vous pouvez envisager de mettre à niveau votre plan d’hébergement pour permettre le téléchargement de fichiers plus volumineux. Il existe également quelques tutoriels en ligne montrant comment augmenter la limite de téléchargement manuellement en ajoutant du code au fichier PHP dans votre thème.
Une fois votre vidéo téléchargée, vous pouvez la laisser jouer sur le lecteur vidéo natif de WordPress, où il existe un nombre de plugins et de lecteurs tiers qui prennent en charge les vidéos auto-hébergées. L’autre façon d’héberger des vidéos sur votre propre site web est de les télécharger directement sur votre hôte web via un serveur FTP comme Filezilla.
Par exemple : En utilisant notre hôte, WPEngine, nous pouvons prendre l’adresse SFTP et le numéro de port pour télécharger directement des fichiers sur notre hôte web. Lorsque vous placez ces fichiers dans un dossier et que vous le mettez sur le web, il obtient une URL. Ensuite, une fois que vous avez l’URL, n’importe laquelle de ces options d’hébergement de vidéo open-source fonctionnera pour afficher votre vidéo. La méthode FTP est plus compliquée et n’est pas recommandée pour les éditeurs débutants. Les méthodes énumérées ci-dessous sont beaucoup plus simples.
Quelles sont les options d’hébergement vidéo les plus faciles à utiliser ?
Cloudflare Stream est le gagnant incontestable tant pour sa facilité d’utilisation que pour son prix.
Il s’agit d’un service d’hébergement vidéo tout-en-un où les éditeurs peuvent télécharger et stocker leur contenu vidéo. Il offre également des fonctionnalités telles que la technologie de débit binaire adaptatif, de multiples options de lecture, des URL signées, la prise en charge du sous-titrage, etc. Une fois votre vidéo téléchargée, un lecteur HTML5 peut être intégré dans les pages et les messages de votre site. MediaElement.Js est une autre option intéressante. Il s’agit d’un lecteur HTML5 à code source ouvert. Vous hébergez vous-même la vidéo et vous prenez l’URL de la vidéo pour la placer dans le code du lecteur MediaElement. Il prend en charge les instructions d’installation pour WordPress, Drupal, PHP personnalisé, la fonctionnalité API et fonctionne avec tous les navigateurs. Il existe également des plugins supplémentaires que vous pouvez ajouter à vos lecteurs comme Chromecast et Google Analytics. Cloudflare Stream et MediaElement.js sont de loin les moins chers et les plus polyvalents. Un certain nombre d’hébergeurs web se sont également associés à Cloudflare, comme WPengine.
WPengine les utilise comme leur CDN. Il dispose d’un plugin qu’il a conçu pour que le flux vidéo Cloudflare s’intègre parfaitement à WordPress.
Pourquoi héberger une vidéo sur votre site web plutôt que sur une plateforme comme YouTube ?
Les deux principales raisons d’héberger des vidéos sur votre site web par rapport à une plateforme comme YouTube sont que vous conservez un contrôle total sur votre contenu et que vous avez le contrôle total sur votre contenu et votre public. Vous avez également le contrôle sur la façon dont vous souhaitez monétiser votre vidéo. En revanche, sur YouTube, vous n’avez qu’un seul choix. AdSense ou non AdSense. Vous pouvez vendre directement des publicités, mais ces publicités sont alors facilement ignorées. En outre, YouTube peut à tout moment (surtout lorsque les règles changent constamment) signaler que votre contenu enfreint les règles de Google, que quelqu’un vous a frappé avec une réclamation de droits d’auteur, etc. La liste est longue. Voici un exemple tiré d’un YouTuber qui a été démoné après 13 ans.
Ce fil de discussion fait plus de 150 commentaires de long, et il y en a beaucoup d’autres comme lui sur les forums du web. Le fait est que si vous êtes un petit éditeur et que vous gagnez 1000 dollars par mois en tant que YouTuber, et que soudain vous êtes démuni, Google s’en moque complètement. Ils préfèrent éviter les procès pour violation de droits d’auteur plutôt que de s’occuper de votre appel.
Quelle est la différence entre l’intégration et l’hébergement de la vidéo ?
- Embedding video – votre vidéo est téléchargée sur une plateforme d’hébergement vidéo tierce, puis vous intégrez le code HTML sur les articles ou les pages de votre site web où vous souhaitez que la vidéo apparaisse.
- Hosting video – vous téléchargez la vidéo sur un hôte, un serveur ou un service qui vous permet d’exploiter votre vidéo et vous donne un contrôle total. Par exemple : hébergez votre propre site web plutôt que d’utiliser WordPress.com, Medium, ou Blogger.
Google indexera-t-il les vidéos auto-hébergées d’un site web dans les résultats de recherche ?
Google indexera les vidéos auto-hébergées dans les résultats de recherche. Ils sont légalement tenus de le faire. Comme Google possède YouTube, s’ils seulement autorisaient les vidéos de YouTube à apparaître sur le SERP, ce serait un monopole. Vous trouverez ci-dessous un exemple de la requête “Comment faire bouillir des œufs”. Google a indexé une vidéo auto-hébergée de Allrecipes.com, et non de YouTube.
Bien que la majorité de ces vidéos indexées proviennent de YouTube, puisqu’elles ont la plus grande part de marché, cela va probablement changer car plus de personnes auto-hébergeront des vidéos.
Souvenez-vous : la chose la plus importante est de s’assurer que vous avez un bon référencement associé à vos vidéos auto-hébergées. Si vous vous contentez de lancer un fichier sur votre site web et de l’intégrer, Google ne dispose d’aucune autre information sur cette vidéo. C’est pourquoi vous devez vous assurer qu’il y a des titres, des méta descriptions, etc. associés à vos vidéos.
Où peut-on héberger soi-même une vidéo gratuitement ?
En dehors des plateformes vidéo tierces comme YouTube, le flux Cloudflare est le plus proche de la gratuité que vous obtiendrez pour les vidéos que vous hébergez vous-même. Le Cloudflare Stream est payant:
- Streaming : 1 dollar pour mille minutes vues
- Storage : 5 dollars par millier de minutes de vidéo stockées
En outre, si vous payez déjà pour l’hébergement de votre site web, vous pouvez l’héberger vous-même directement via votre CMS. Mais vous devrez coder en dur une solution de contournement pour supprimer la limite de taille de téléchargement des fichiers. De plus, si vous prévoyez de publier beaucoup de vidéos, vous voudrez un jour mettre à niveau votre plan d’hébergement. Si vous n’avez besoin de publier des vidéos que de temps en temps, vous pouvez probablement vous en sortir en dépensant très peu d’argent.
Récapitulatif sur l’auto-hébergement de vidéos et sur la façon d’assurer que Google les classe
Lorsque vous décidez d’héberger des vidéos sur votre site web, rappelez-vous ces points clés :
- Considérez comment votre site web est hébergé : Utilisez-vous un CMS comme WordPress, Drupal ou Joomla ! ou vous hébergez-vous vous-même ? Il est essentiel de connaître les spécifications des limites de taille des fichiers pour le téléchargement de vidéos.
- Choisissez où vous allez auto-héberger vos vidéos : Vous pouvez choisir une option d’auto-hébergement tout-en-un comme le flux Cloudflare, ou télécharger des vidéos via votre CMS ou votre hébergeur web et utiliser un lecteur open-source comme MediaElement.js, Video.js, et plusieurs autres.
- Créer du contenu et être conscient de l’échelle : Si vous vous hébergez vous-même et que votre plan d’hébergement est de 100 $ par an pour un stockage de fichiers vidéo allant jusqu’à 1000 Go, et si vous dépassez cette limite et que votre plan passe automatiquement au niveau suivant, cela pourrait nuire à votre portefeuille. Suivez donc l’évolution de votre production vidéo en fonction de la croissance de votre site web.
- Optimisez vos vidéos pour le référencement : assurez-vous que vos vidéos ont des méta descriptions, des méta titres, etc. pour que Google puisse les indexer correctement.
Vous avez des questions sur l’auto-hébergement de vidéos ? Faites-le moi savoir dans les commentaires.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.