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LE PAG EN EXAMEN AU CNT : Le verbiage de Choguel Kokalla

C’était attendu comme un événement politique phare de la transition, depuis la rectification intervenue en son sein, il y a bientôt un an, avec la nomination de Choguel Kokalla Maïga au poste de Premier ministre : l’examen devant le CNT du Plan d’actions gouvernemental (PAG) du Premier ministre, jeudi dernier. A la fin, ce fut une véritable évasion politico-médiatiquepour lui,comme il en est le champion. Choguel Kokalla Maïga, comme pour noyer le poisson dans l’eau, n’a rien dit au cours de son show médiatique. Chronique d’un camouflage ‘’médiatico-événementiel’’ sans nom !

Ce jeudi, au CNT, l’organe législatif de la transition, délocalisé au CICB, c’est un Choguel Kokalla Maïga non sûr de son fait qu’on a perçu à l’entame du show médiatique, débuté sous la forme d’un examen de passage au ton vif et direct sur des réalisations de son bilan de près d’un an d’exercice.

A l’image d’un Nouhoun Sarr, fort inspiré par l’enjeu de l’événement, qui n’a certainement pas  voulu que ce premier exercice d’appréciation de l’action gouvernementale apparaisse  comme une formalité banalisée, et qui a directement asséné les coups.Le PAG du Premier ministre, à l’exception notable des prouesses militaires vantées et fièrement portées par tous, dans sa réalisation effective, n’est pas en fait une grande réussite. Le ton de l’événement est ainsi donné et le décor planté.

Selon Nouhoun Sarr, qui continue d’ailleurs d’essuyer, sur les réseaux sociaux, les foudres des nervis, mis à contribution par l’interpellé, pour avoir osé, comme il l’a fait, décrié l’action gouvernementale portée par unChoguel Kokalla Maïga, au-delà d’un populisme pompeux, qui n’a pas réussi à engranger des résultats probants sur son plan d’actions gouvernemental.

Le Premier ministre de la transition, ainsi interpellé au vif sur ses actions, comme on le sait, à l’ordinaire, n’a pas dérogé à sa réputation de se complaire dans un rôle de victime expiatoire. Il en a l’habitude de cette victimisation, dès qu’il s’agit, pour lui, de jouer au camouflage savant et orchestré, dans le but de se donner du beau rôle et de faire porter les responsabilités des échecs sur les autres.

« C’est le contexte, dit-il en substance, difficile, fait d’agression politique, diplomatique et médiatique, qui frappe le pays, pour avoir choisi la voie de l’honneur, qui explique pourquoi l’action gouvernementale a peiné à démarrer ».

Dans ce jeu de victimisation, tout y est : la France, comme une rengaine, a tout fait pour comploter contre le Mali. La presse locale, elle, n’est pas non plus épargnée, d’autant qu’elle est accusée de pilonner dans ses manchettes le Premier ministre, pourtant dédié à la cause publique.

Le beau rôle lui revient, lui, Choguel Kokalla Maïga, qui est pourtant violemment dénoncé par de nombreux interpellateurs  d’avoir usé du clivage en opposant les Maliens à partir de ses attributs officiels, parce qu’il estime, lui-même, qu’il a pris le pari de la défense des intérêts du peuple malien. Ce qui lui vaut toutes sortes de diatribes.

Voilà le jeu d’un homme, celui du tape-à-l’œil,  qui sait bien qu’il n’y a pas beaucoup de choses à mettre sous la dent pour l’effectivité des actions réussies à son actif, depuis qu’il a été nommé au poste de Premier ministre, il y a bientôt un an.

La parfaite illustration de la fuite en avant du chef du gouvernement lors de ce premier choc avec les membres du CNTse résume sans doute par le silence, à la fois assourdissant et intolérable, qu’il a entretenu sur les délestages monstres qui empoisonnent en ces moments la vie des citoyens et des ménages.

Le contexte de ces coupures sauvages de courant, qui n’épargnent aucun quartier de la capitale, devait empêcher le Premier ministre de la transition, à cette occasion solennelle, de passer sous silence un tel phénomène. Ne serait-ce que pour démontrer qu’il est le Premier ministre du quotidien.

Hélas ! Il n’en a cure d’autant qu’il sait très bien qu’il chemine sur du sable mouvant, en parlant de ce secteur ô combien stratégique.

En s’y murant dans un tel silence sur les délestages, le Premier ministre de la transition, Choguel Kokalla Maïga, a bien usé, comme il sait bien le faire, de la ruse pour endormir les consciences. Il le sait d’autant plus dommageable, pour sa prestation, déjà maigre sur les réalisations qu’il a réussies, à la tête du gouvernement, qu’il a du mal lui-même à se défaire des échos malsains des scandales de toutes sortes qui ont gangréné la gouvernance, pompeusement présentée, comme celle de la rupture, au début de sa prise de fonction à la Primature.

A l’évidence, à part tenter de frapper les esprits, en l’occurrence en promettant des actions phares à venir, le Premier ministre de la transition, lors de cette séance publique, n’a rien dit. Très peu convainquant sur son bilan, qui est resté des plus mitigés, à près d’une année d’exercice primatorial, Choguel Kokalla Maïga a été incapable de démontrer à la face du monde qu’il était cet homme visionnaire, dont on s’était pris à rêver, au moment où il annonçait en fanfare, à sa prise de fonction, qu’il pouvait bâtir le renouveau du pays.

Pour cela, le maître des lieux, le colonel Diaw, a réussi un pari politique de taille : celui de mettre à nu un homme prétendument  et abusivement annoncé, un peu trop vite,  commeune compétence avérée et intrinsèque, au plan moral et professionnel, dont l’action, menée à la tête du gouvernement, pourrait forger le destin du Mali.

Il n’en est rien : le Premier ministre de la transition, au finish de cet exercice, n’a fait qu’étaler ses incohérences dans la conduite de l’action publique, dans une fuite en avant qui lui sied,  tout en excellant dans des domaines, où on le sait d’ordinaire, capable de tirer son épingle du jeu, à savoir les fausses promesses, les illusions et les imputations aux autres pour les péchés commis.

C’est d’ailleurs là, sur ce terrain, qu’il faut apprécier ce passage du Premier ministre de la transition, devant le CNT, qui a permis au colonel Diaw, fin stratège qu’on n’imaginait pas,  qui a réussi, devant tous, de prouver que le Premier ministre de la transition a atteint ses limites.

Eh bien ! Ce n’est pas un Nouhoun Sarr, plus incisif et plus tranchant, lors de ce premier face-à-face avec le Premier ministre au CNT, qui dira le contraire.Lui qui ne cesse de se faire traiter de tous les noms d’oiseaux  par les nervis lourdement compensés pour la basse besogne  sur les réseaux sociaux,  pour n’avoir fait seulement que son travail. A savoir : assurer un contrôle efficace et rigoureux de l’action gouvernementale.

Oumar KONATE

Évaluation du PAG devant le CNT : Choguel se sauve sans la République

Comme annoncé la semaine dernière, le Premier ministre était devant le Conseil national de transition ce mercredi 21 avril. En cinq heures de débat, Choguel Kokalla Maïga s’est justifié sans convaincre. 

“Votre document à nous présenter ne correspond pas au format du PAG que vous nous avez présenté, ni dans le fond ni dans la forme”; “Vous êtes mieux dans le fauteuil d’activiste que celui de Premier ministre”, ont respectivement lancé Diarra Racky Talla et Nouhoum Sarr au PM.

Vêtu d’un boubou blanc, les yeux, profonds dans leurs orbites, laissaient entrevoir que le Premier ministre Choguel Kokalla Maïga avait mal dormi ces dernières 48 heures. Acculé sur les cinq axes du Programme d’actions gouvernemental (PAG) qu’il avait annoncé qualifiable et quantifiable, assorti d’un chronogramme détaillé et d’un budget chiffré à plus de 2 050 milliards F CFA, le chef du gouvernement, comme on pouvait s’y attendre, est tombé dans un bavardage, et même la poésie. Une diatribe verbale dont il est le seul à avoir le secret.

« En dehors de la Défense, de la Sécurité et des Affaires étrangères, aucun secteur ne s’est amélioré », a déploré Racky Talla. Et l’ex-ministre en charge de la Fonction publique d’ajouter qu’elle ne comprend pas que la fameuse conférence sociale annoncée n’ait toujours pas eu lieu, alors que le projet était ficelé quand elle était encore membre du gouvernement, sous Ibrahim Boubacar Keïta.

Le plus pertinent des intervenants reste certainement le jeune Nouhoum Sarr. Lui qui, sans détour, a martelé que le PAG du Dr Choguel Maïga n’a ni de lisibilité ni de visibilité. Pire, les 10 mois qu’il aura passés à la tête du gouvernement n’auront servi qu’à  faire la guerre à la Cedeao et à la France, a regretté Sarr.

Au lieu de présenter un bilan comme on le lui demande, Choguel a plutôt déroulé  un PAG actualisé et justifie ses égarements par une évolution de la situation qui l’a  poussé à changer de cap, à savoir la reconquête de la souveraineté nationale.

Plutôt que de répondre aux questions à lui posées, le Premier ministre a joué à la victimisation. Il a indiqué qu’on lui fait un procès d’intention en le traitant de ‘’clivant’’. Selon lui, c’est lors de sa rencontre avec les notabilités coutumières qu’il a prononcé une phrase qui lui a valu d’être qualifié de ‘’restaurateur’’. Sur le reste des questions, Choguel Kokalla a été plutôt dubitatif et imprécis. Il n’a répondu à presque aucune question. Le chef du gouvernement a même eu du mal à cacher son exaspération face à la pertinence du réquisitoire des membres du CNT. C’est ainsi que, coincé sur le sujet de l’achat des équipements militaires en cours, il n’a pas hésité une seconde à jeter le pavé dans le jardin des militaires. “Les Maliens n’ont pas besoin de savoir combien ont coûté les équipements militaires dans la mesure où ils sont là et les servent. Ces questions sont à poser aux militaires ”, s’est-il dédouané.

Son malaise l’a poussé parfois à perdre le contrôle de ses nerfs, surtout lorsqu’on lui a demandé de rendre le tablier. Il a répondu sur un ton qui frise l’agacement : « Si l’heure de partir arrive, je m’en irai la tête haute. » Et plus loin, il a indiqué à ceux qui sont pressés de le voir partir d’aller proposer le nom de son remplaçant au président de la transition.

Ensuite, le PM, en manque d’arguments devant l’insistance et la pertinence des questions, s’est réfugié derrière le nom du président de la Transition. “Le président nous a dit ; le président nous a instruit…” Telles sont les expressions fétiches qu’il a trouvées pour fuir les questions.

Pour sûr, Choguel Maïga, dans le creux de la vague, surfe sur des vagues sèches. Il s’est expliqué sans convaincre ni son auditoire ni l’opinion publique dans sa majorité.

En un mot, Choguel s’est sauvé sans la République.

Dieu veille!

Harber MAIGA

Paysage politique : Issa Kaou N’Djim exclu de l’Acrt

C’est un scandale qui se vit au sein du parti Action citoyenne pour la réussite de la Transition (Acrt-Faso Ka Welé) avec la radiation en cours du président fondateur.

Le monde s’effondre sous les pieds du tonitruant Issa Kaou N’Djim. Après son éviction du Conseil national de Transition et son passage entre les quatre murs de la Maison centrale d’arrêt de Bamako-coura, ce sont les militants de son parti qui ont décidé de l’exclure pour « travail fractionnel ». Cette décision ne serait plus qu’une question de jour, selon une source interne.

Elle explique que la discorde entre M. N’Djim et les militants du parti est survenue suite aux déclarations et les actes posés par le président, et qui seraient contraire à la ligne et aux textes du parti.

En effet, notre source précise qu’après sa sortie de prison, Issa Kaou N’Djim s’est adonné à des déclarations et des critiques contre la Transition. Cela est tout naturellement contraire à la ligne et à l’objectif du mouvement politique transformé en parti. En effet, l’Acrt a été, selon ses initiateurs, créée avec un seul objectif : soutenir la transition. Elle ajoute que lors d’une réunion extraordinaire, les membres ont demandé des explications au président sur les motifs de son retournement de veste. Il leur aurait expliqué qu’après tout ce qu’il a subi, il n’est pas question de continuer à soutenir la transition. C’est ainsi qu’ils auraient rappelé au sieur N’Djim la raison de leur adhésion au mouvement. Donc, pour eux, le changement d’objectif revient à dissoudre le parti. Mais, que cette option n’est pas à l’ordre du jour. Ainsi, sur insistance d’Issa Kaou N’Djim, il aurait été décidé de procéder à un vote pour départager les parties. Suite à quoi le président de l’Acrt aurait été mis en minorité. Alors, ordre lui aurait été donné de s’abstenir de toute critique et tout propos malveillant envers la Transition. Sans quoi, il sera exclu sans autre forme de procès.

Sachant qu’il est pratiquement impossible pour l’homme de se tenir à carreau, car il rumine toujours la perte de son poste de 4ème vice-président du CNT et son séjour en taule, son exclusion du parti ne serait qu’une question de jour. Parce qu’il cherche juste un crachoir pour verser son venin sur la transition.

Quelle ironie du sort pour lui qui a osé tourner le dos à son mentor de beau-père pour soutenir bec et ongle le président de la Transition.

A suivre.

Jean JACQUES

Evaluation de l’action gouvernementale : l’auto-satisfécit de Choguel Kokalla

87% de taux de réalisation du Programme d’action gouvernemental (PAG). C’est qu’annoncé le Premier ministre, la semaine dernière, lors d’une séance d’évaluation qu’il a organisée. Le chef du gouvernement s’est montré fier de son propre bilan au point de le glorifier. Sauf que les Maliens, à ce jour, ne connaissent le moindre secteur où les lignes ont bougé. 

Un bilan élogieux, dirait l’autre, mais… Une véritable prouesse réalisée par l’équipe gouvernementale dirigée par Choguel K. Maïga, serait-on tenté de dire. On serait même tenté de chanter le Janjo pour l’enfant de Tabankort. Si seulement, il y avait la moindre action concrète posée. Les enfants du bon Dieu seraient-ils devenus des canards sauvages aux yeux du PM ? Rien n’est moins sûr, car le saupoudrage et l’auto-satisfécit qui dont il fait montre autour de son fameux bilan crèvent les yeux, même ceux d’un aveugle. Les Maliens n’en revenaient pas lorsqu’ils ont entendu sur les antennes de la boite nationale à images (Ortm) que Choguel et sa clique ont réalisé 87% des actions inscrites dans le PAG. Ils ont dû penser qu’ils ne vivent pas dans le même pays que le PM. Parce que la vieille maraichère de Kambila n’a vu aucune amélioration dans son quotidien. Aujourd’hui plus qu’hier, elle broie du noir et la situation empire avec les sanctions de la communauté internationale. Malgré tout, Choguel Maïga voit la vie en rose. C’est normal, lorsqu’on émarge au budget national pour 75 millions F CFA mensuels à titre  d’indemnités. On peut s’offrir le luxe de se glorifier d’avoir amélioré le sens de la marche de l’Histoire.

Ce changement, il est y parvenu en allant insulter la France à la tribune des Nations unies. Tenir tête aux autorités françaises dans une joute verbale inouïe ayant précipité le départ de leurs troupes du sol malien. Oui, Choguel a bossé en défiant la Cedeao et le reste de la communauté internationale.

Eh oui, il a des hauts faits d’armes pour être parvenu à mettre tous nos malheurs sur le dos des acteurs du mouvement démocratique, créant ainsi des « Maliens de gauche et de droite ».

Le génie du PM est indéniable, mais il est incapable d’assurer trois repas normaux aux villageois de Séninkégny, ou aux populations meurtries de Douentza. Son génie n’a pas pu empêcher les sanctions de la Cedeao, encore moins les délestages intempestives à Bamako et dans les grandes villes. Eh oui, Chogeul est un as. Un vrai d’ailleurs dans la stratégie de ravaler ses convictions en fonction de l’évolution de la situation.

87% de réalisation du PAG ; selon tout esprit averti, devrait ressembler à ça,  que : le front social ne s’est pas tu par esprit de patriotisme, mais par la sagacité et la magnanimité du gouvernement ; le plateau technique s’est amélioré, bien sûr, avec la commande et l’achat de matériels commandés par Diéminatou Sangaré et non l’ancien régime ; l’école se porte à merveille au point où la ministre en charge de ce secteur se félicite d’avoir organisé les meilleurs examens de l’histoire de la République ; l’économie malienne se porte à merveille, avec un taux de croissance qui frôle les deux chiffres ; la dette intérieure est apurée jusqu’au dernier centime ; les caisses de l’Etat sont remplies à raz bord ; le trésor public est très solvable ; tous les déplacés internes et les réfugiés sont rentrés chez eux ; les groupes armés se sont disloqués ; la paix et la cohésion sociale sont de retour ; la diplomatie se porte à merveille ; le Mali rayonne dans le concert des nations, etc.

Au lieu de cela, à part la montée en puissance de l’armée, la République s’est endormie.

Pendant ce temps, Choguel se glorifie, se félicite au point de vouloir se convaincre lui-même qu’il a réalisé une prouesse.

Seulement voilà, les bouts de bois de Dieu en ont assez d’acheter du vent avec lui et ne se font aucune illusion quant à sa bonne foi de nous conduire droit dans le mur.

Dieu veille !

Harber Maïga

ACTION HUMANITAIRE : Plus de 50 000 déplacés de retour au bercail, selon le ministre Diarra

Dans le cadre de la 26ème édition du mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion, le gouvernement du Mali a procédé à d’importante donation à des personnes les plus vulnérables sur le plan alimentaire et non alimentaire. Le ministre délégué chargé des Réfugiés auprès du ministre de la Santé et du Développement social, Oumarou Diarra, est revenu sur la montée en puissance des FAMa, tout en annonçant le retour de plusieurs dizaines de milliers de déplacés dans leur localités respectives.

L’activité s’est déroulée le 28 janvier à la Direction nationale du développement social (Dnds).

Le mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion est célébré au Mali depuis plus d’un quart de siècle.  Cette 26ème édition a été lancée officiellement le vendredi 1er octobre 2021 sur toute l’étendue du territoire national et à l’extérieur du pays, dans un contexte social, sécuritaire, économique, sanitaire et politique très contrasté.  C’est sous le thème : « La Solidarité, un moyen de renforcement de la paix, de la cohésion sociale et d’atténuation des effets de la Covid-19 » que les activités de cette année ont été réalisées.

Pendant ce mois, différentes opérations d’appui ont été faites en faveur des personnes les plus vulnérables, dans les domaines alimentaire et non alimentaire, notamment le renforcement des activités d’accès à la santé, à l’eau, au logement, à l’éducation et aux outils de production. La présente journée de donation renforce et prolonge la chaine de solidarité à travers de multiples actions. Cette donation comprend le financement de 48 Activités génératrices de revenus (AGR) au profit des associations et groupements, touchant 480 bénéficiaires directs et 960 bénéficiaires indirects, l’appareillage de 70 personnes en situation de handicap, soit 30 fauteuils roulants, 30 tricycles à moteur et, 10 tricycles à pédalier, l’appui alimentaire à 21 structures ou organismes d’encadrement de personnes défavorisées avec 19,5 tonnes de riz, 15,5 tonnes de mil et 3 tonnes 500 kg de sucre et des bidons d’huile, 700 nattes et 900 moustiquaires. La valeur de ces différentes donations est estimée à 93 millions 175 mille francs CFA.

Le ministre délégué chargé des réfugiés auprès du ministre de la Santé et du Développement social, Oumarou Diarra a saisi cette occasion pour appeler les Maliens à l’union sacrée autour du Mali pour l’atteinte des objectifs fixés par les autorités de Transition. Grâce à la montée en puissance des FAMa (Forces armées du Mali), le ministre affirme que plus de 50 000 personnes ont regagné leurs localités. Et de façon volontaire.

Quant aux bénéficiaires de cette importante donation, ils adressent leurs salutations aux plus hautes autorités du pays pour cette action sociale en leur faveur. C’est dans ce sens que Gakou Aïssata Diop, promotrice du centre « Housnakaso », un centre d’accueil d’enfants, sollicite la bonne volonté des uns et des autres. Elle déclare que son centre accueille une soixantaine d’enfants qui consomment plus de 200 kg de riz par mois.

Abdrahamane Baba Kouyaté

DÉBRIEF GP ABU DHABI : Revivez l’action au Grand Prix d’Abou Dhabi

Au terme d’un finish hors du commun, cette saison historique à vue Max Verstappen être titré dans le dernier tour face à Lewis Hamilton. Retour sur un GP d’Abu Dhabi historique en 4 enseignements.
#F1 #Verstappen #Hamilton

Intro – Hommage à Frank Williams 00:00​​​​​​​​​​​​​
Un tour historique.. et des questions
06:37
Verstappen, 34e champion du monde
28:57
FIA / Mercedes : Des recours possibles ?
45:20
Perez / Bottas : lequel a coûté le titre le plus important ?
59:04